blague agriculteurs

Les paysans qui gagnent au loto

C’est un couple de vieux agriculteurs qui ont passé toute leur vie dans les Causses. Un beau jour, ils gagnent au Loto, et ils sont invités à venir toucher leur chèque à Paris.

Pris en charge dès le début de leur périple par la Française des Jeux, ils passent du TGV au taxi, puis le taxi les amènent dans un palace parisien. Et là, c’est l’esclandre. Le ton monte très vite.

Madame dit au groom :
– Il n’est pas question que l’on passe la nuit dans une chambre aussi petite ! Qu’il n’y ait pas de salle de bains, passe encore, mais pas de fenêtre, pas de lit, ça c’est trop !
– Mais madame…
– Il n’y a pas de « Mais madame » ! Vous ne pouvez pas nous traiter comme de la merde simplement parce qu’on débarque de la campagne et qu’on est jamais allé à l’hôtel. Je vais me plaindre au directeur. Où est-il ?

Alors le groom lui dit :
– Mais madame, ce n’est pas votre chambre, c’est l’ascenseur.

La Ferrari accidentée

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Un agriculteur moissonne son champ lorsqu’il est témoin d’un accident : Une Ferrari Testarossa percute un platane. Aussitôt il arrête sa moissonneuse-batteuse et se précipite vers le désastre. Il aide le conducteur à sortir de son ex-superbe-véhicule.

L’accidenté se lamente :
– Ma Ferrari ! Ma Ferrari !

L’agriculteur lui demande si tout va bien puis :
– Mais vous êtes plein de sang !
– Merde, mon beau costume à trois bâtons ! C’est pas possible…
– Mais… Vous avez perdu un bras !
– De quoi ?… Ma Rolex !

Electrocuté du zizi

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Les perles : les assurances

« Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. J’avais bu à cause de la chaleur deux blanc cassice à l’onseice. J’ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d’urine. Je arraité la voiture sur le baur de la route prais d’unta de pierres et de matériau rapport aux travois eczécuté mintenant pour l’élaictricitai. Je commence à uriné et en fesan ce besoin, je en maniaire d’amuzement dirigai mon jai en zigue saque à l’entours. Alors mon jai a rencontrai un bou de fille electrique qui était par terre au lieu d’être accroché au poto. Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m’a raipondu dans le fondement et des les partis que lotre médecin y appelle tête y cul. Je me suis évanouille et quand je sui revenu dans la connaissance, je vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé à la braguette.
Je sui assuré par votre maison et je voufrai être un demnisé. Jé droit à ce con m’a dit et je vous demande votre opinion. Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, je les burnes toutes noires et ratatinés. ma verge est tumefié, gonflé et violacé. Le médecin a dit devant du monde qui peut répété: avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais. « Au jour d’ojourd’hui, je ne peux plus m’en servir que seulement pour uriné, mais pour le reste, à seul fin de remplir mes devois conjugo avec ma femme qui a le sang chot, il n’y fot plus compter. Je fait des réserves dessus. Vous ne plaident pas pour ça qui ferai du tort à votre maison d’aasurance. A vous lire, je vous salue empressement.
Monsieur X, Agriculteur »