blague accusé

La preuve par l’alcootest

Le président du tribunal s’adresse à l’accusé :
– L’alcootest prouve que vous conduisiez en état d’ébriété. Reconnaissez-vous les faits ?
– Pour sûr, monsieur le président, j’avais bu, tellement bu même que je n’arrivais pas à souffler dans le ballon. Heureusement, le gendarme qui m’a arrêté était sympa. C’est lui qui a soufflé à ma place !

Le bégaiement de l’accusé

Les perles : la justice

Dans une affaire d’escroquerie au jeu de boules jugée en 1963, un accusé bègue lance : « Je ne peux pas vous répondre, parce que le pro-cu-cu, le procureur, va en faire état dans son réqui-réquiqui-zizi, dans son réquisitoire… » Ce qui déclenche un fou rire général dans la salle. L’accusé a, sans le vouloir, gagné ce jour-là quelques années de prison.

La plaidoirie de l’indulgence

Un individu n’est pas satisfait du plaidoyer de l’avocat qu’on lui a donné d’office.
– Accusé, qu’avez-vous à ajouter pour votre défense ?
– Rien, monsieur le Président, je réclame seulement l’indulgence de la cour pour mon avocat.

Les lourdes peines américaines

Les perles : la justice

Il n’y a guère qu’aux États-Unis qu’un tribunal puisse infliger à un accusé, par le jeu du cumul de peines, cinquante, soixante, quatre-vingts ou cent ans de prison. Comme disait un président de cour américaine à un récidiviste lourd : « Ne vous affolez pas, mon ami, vous ferez ce que vous pourrez ! »