blague accident

Le crash de l’avion présidentiel

Édouard Philippe, Emmanuel Macron et M. Glloq, leur conseiller spécial, sont dans un avion. L’avion est sur le point de se crasher, ils décident donc de sauter pour essayer de survivre… Édouard Philippe saute, il tombe dans la mer et meurt. Emmanuel Macron saute à son tour, il tombe dans la forêt et meurt. M. Glloq saute à son tour mais il ne meurt pas ! Pourquoi ?

Parce que c’est M. G-L-L-O-Q (J’ai deux ailes au cul)

L’erreur de l’infidélité

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C’est un homme qui appelle sa femme mais c’est sa petite fille qui décroche :
– Allô, c’est papa tu peux me passer maman s’il te plaît ?
– Je ne peux pas elle est dans la chambre avec tonton David.
– Mais voyons ma petite tu n’as jamais eu de tonton David.
– Si c’est maman qui me l’a dit.
– Très bien va dire à maman et tonton David que papa a rentré sa voiture dans le garage.

La petite fille pose le téléphone sur un meuble et va voir sa mère et son oncle et revient en pleurs au téléphone.
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Bah maman qui a sauté du lit, nue, et a couru partout et a glissée sur le tapis et est tombée sur le coin du lit. Je crois qu’elle est morte il y a plein de sang par terre !
– Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu !!! Et ton oncle David ?
– Il a sauté du lit, a sauté par la fenêtre mais il a oublié que tu avais vidé la piscine la semaine dernière pour la nettoyer et il a sauté dedans et je crois qu’il est mort aussi.

L’homme qui ne se sent pas bien dit :
– Quelle piscine ? Je crois que je me suis trompé de numéro de téléphone !

La douleur de Guillaume Seznec

Les perles : la justice

Guillaume Seznec a toujours nié son crime. Condamné aux travaux forcés à perpétuité en 1924 malgré l’absence de cadavre et d’arme du crime, il passe vingt-trois ans au bagne en Guyane. En 1947, il est gracié pour bonne conduite et libéré. Il continue de crier son innocence. Sa famille aussi. Mais en novembre 1953, après avoir réintégré la communauté des hommes, il est renversé par une voiture en plein Paris. Il mourra trois mois plus tard. Ses derniers mots : « Maman, on m’a fait trop de mal ! »