Les dernières bonnes volontés

Les perles : la justice

Marcel Delrue, guillotiné en 1952, s’adresse une dernière fois à son avocat : « Je veux que vous buviez du champagne à ma santé. Cela me rendra heureux au paradis. » Il avait même pris soin d’écrire préalablement au directeur de la prison : « Le dernier matin, dites à mes geôliers d’avoir le sourire. Que j’emporte le souvenir de visages amicaux. »

Rate this post

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.