Le supplice de la grosse dame

On fait venir le condamné à mort devant le juge qui lui explique :
– Comme vous le savez, vous êtes condamné à mort et vous passerez sur la chaise électrique demain. Seulement dans notre bonté d’âme, nous vous donnons le choix entre la chaise électrique et le supplice de la grosse dame.

Le condamné réfléchit deux secondes et se dit que de toute manière il ne réchappera pas à la chaise donc autant choisir quelque chose qu’il ne connaît pas mais qui ne peut pas être pire. Il dit donc au juge qu’il prend le supplice de la grosse dame. Le lendemain, on vient le chercher dans sa cellule et on l’amène à nouveau devant le juge. A côté de celui-ci se trouve une énorme femme de plus de 200 kilos, luisante de graisse, pleines de bourrelets, quelque chose, en fait, d’innommable. On se doute que c’est une femme aux deux protubérances qui pendouillent sur son ventre. On voit à peine ses membres cachés par la graisse et je ne vous parle pas du reste. Le juge dit alors au condamné :
– Vous voyez cette femme. Et bien vous allez devoir lui mettre à la taille cette ceinture taille 36 et la serrer au dernier cran !

Le condamné reste bouche bée. Comment peut-il réussir cet exploit ? Mais d’un autre côté il se dit qu’il vaut mieux ça à la chaise électrique. Il commence donc tant bien que mal à essayer de lui mettre cette ceinture. Au bout de deux jours d’efforts intenses, il arrive tout juste à joindre les deux bouts de la ceinture. Deux jours après, sans manger et sans boire, il arrive à mettre le premier cran de la ceinture. Il est épuisé, amaigri mais il continue sachant que le dernier cran de cette ceinture le libérera. Au bout d’une semaine en tout, il arrive à mettre le dernier cran de la ceinture et s’écroule d’épuisement devant le juge. Le juge lui dit alors :
– C’est très bien, vous y êtes arrivé. Maintenant vous n’avez plus qu’une petite épreuve et vous aurez fini ce supplice. Il faut que vous mettiez votre tête dans le sexe de cette femme.

Alors le condamné relève la tête et ce dit que ce n’est pas possible. Puis en y réfléchissant, après tout le mal qu’il a eut à mettre cette ceinture, il n’est plus à ça près et surtout il sera enfin libre. Il s’approche donc du trou béant et en prenant sa respiration, introduit sa tête dans le vagin de la femme. Alors le juge à ce moment vient vers la femme, coupe la ceinture et… SLUUUUUUURP…

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