Une dame aux formes plantureuses confie à un ami de son mari qu’elle a rencontré à la gare :
– Je suis toute triste. Maurice est parti en mission pour son travail. Quand, sur le quai, j’ai vu le train s’éloigner, un gros soupir a soulevé ma poitrine…
Et le confident de soupirer à son tour :
– Bien sûr ! Un petit n’aurait pas suffi.