La morale de Mesrine

Les perles : la justice

Il fait la une des journaux. Il aime la mise en scène. Jacques Mesrine s’est construit un personnage. L’ennemi public numéro un des années 1970 écrit, explique. Révolté, il pousse jusqu’au bout son rejet de l’ordre et s’invente sa propre morale : « J’ai du sang sur les mains, dit-il, mais du sang d’hommes de mon milieu ou de flics. Je n’ai jamais touché un innocent. Tueur peut-être, mais pas assassin ! » La nuance est de taille.

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