La confession d’une ‘bonne action’

Il y a pas si longtemps que cela, un gars va se confesser :
– Pardonnez-moi mon Père, parce que j’ai pêché : Pendant la seconde guerre mondiale, j’ai caché un juif dans mon grenier.
– Hé, mais ce n’est pas un pêché ! répond le prêtre.
– Oui, mais je lui ai demandé 500 francs pour chaque semaine qu’il passait là.
– Ah ça d’accord ! Ce n’était pas bien, mais ce n’était pas un gros pêché puisque vous faisiez une bonne action en même temps. Répond le curé.
– Oui, mais je ne lui ai pas encore dit que la guerre est finie !

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