Poésies

La femme (la rose et le diamant)

Et quand, ton cœur s’ouvrant
De tes mille flammes
Ton parfum m’enivrant
J’ai réchauffé ma vie
De ton corps de satin
Dans ton cœur de cristal
J’ai réjoui mes mains
J’ai pu voir mon âme
Et compris le bonheur
En criant mon envie
De cueillir cette fleur
De prendre ton étoile
Femme au corps de rose
Cristalline éclose

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Le diamant

De tes mille flammes
J’ai réchauffé ma vie
Dans ton cœur de cristal
J’ai pu voir mon âme
En criant mon envie
De prendre ton étoile

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

La rose

Et quand, ton cœur s’ouvrant,
Ton parfum m’enivrant,
De ton cœur de satin
J’ai réjoui mes mains
Et compris le bonheur
De cueillir cette fleur

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Guetteur

Et je suis là, fiévreux
A guetter les étoiles
A me rendre nerveux
Comme si sur cette toile
Un dernier message
Une pensée de toi
Aurais gravé l’image
De ton amour pour moi

Et j’attends impatient
Corps vidé, cœur amour
Un message inconscient
Qui me dira un jour
Que tu es revenue
Pouvant me réveiller
De ce long non vécu
Et toujours t’enlacer

Voici venir l’instant
Où, guetteur satisfait
Sur le miroir du temps
J’ai pu voir ton reflet
Et j’ai joint dans un cri
Mon amour, mon bonheur
Car il était écrit
Notre union dans nos cœurs

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Attente 2

Les heures passent et pourtant
Une angoisse au fond de moi
Une attente qui je le sens
Me glace peu à peu d’effroi
J’ai tellement d’amour pour toi
Que plus rien d’autre à mon sens
Ne me fait ressentir l’émoi
De toi je tire l’essence
De ma vie. Me tue l’absence
De ton corps contre le mien
De ton cœur un grand silence
Toute mon âme t’appartient
Et lorsque tu me reviens
Je ressuscite à l’envie
Le pourvoir que tu détiens
De mort, de vie, je revis
Et pour ton retour je prie
Ce n’est qu’une question de temps
Mais je n’ai jamais appris
Les heures passent et pourtant…

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.