Blagues

La robe du cambrioleur

Le président indigné demande à l’accusé :
– Pourquoi avez-vous cambriolé, trois nuits de suite, le même magasin de vêtements ?
– Voilà, monsieur le président… La première fois, j’avais pris une robe pour ma femme. Et les deux autres fois, je suis allé la changer.

La beauté de la fidélité

– C’est beau, la fidélité, dit une dame à une amie. Tiens, prends le cas de Carole. Voilà quinze ans qu’elle vit un amour fou avec le même homme.
– Oui. Et le plus beau, c’est que pendant tout ce temps, son mari ne s’est jamais aperçu de rien.

La blague du grand B

Saint Pierre est de permanence à l’entrée du Paradis lorsque plusieurs personnes se présentent.

Le saint se renseigne :
– Bonjour mon enfant. De quoi es-tu mort ?
– Je suis mort du grand « C ».
– Le grand « C » ? Qu’est-ce que c’est que ça ?
– C’est ce satané Cancer qui m’a bouffé.
– D’accord. Pauvre homme, entre : je t’ouvre les portes du Paradis.

Puis il s’adresse à un deuxième homme :
– Et toi mon enfant, de quoi es-tu mort ?
– Je suis mort du grand « I ».
– le grand « I » ? Qu’est-ce donc ?
– C’est l’Infarctus, Saint Pierre ; j’étais en train de jouer avec mes gosses lorsque mon cœur a lâché, et me voilà !
– C’est d’accord mon enfant ; entre, car je t’ouvre les portes du Paradis.

La troisième personne à se présenter devant saint Pierre est une femme :
– Et toi mon enfant, de quoi es-tu morte ?
– Moi je suis morte du grand « B », répond la femme.
– Ça commence à bien faire toutes ces initiales. Bon, alors, qu’est-ce que c’est que le grand « B » ?
– Le grand « B », c’est la blennorragie !
– La blennorragie, le grand « B » ? Tu te fous de moi ?! Ça fait longtemps qu’on ne meurt plus de la blennorragie !
– Ah mais si, si tu la repasses à ton mari…

Attention aux grimaces

Une petite fille s’amuse à tordre sa bouche dans tous les sens au cours d’un repas familial. Sa tante, observant la scène depuis quelques minutes, lui dit soudain :
– Tu sais, moi quand j’étais petite, ma mère m’a dit que si je continuais à faire des grimaces, plus tard, je serai affreuse.
– Ah ? fait la petite. Et pourquoi n’as-tu pas écouté ta maman ?