Blagues santé
Les accidents dans l’asile psychiatrique

Un inspecteur envoyé par le ministère de la Santé vient faire une visite d’inspection dans un hôpital psychiatrique. Il est spécialiste en sécurité, et demande donc à voir le registre des accidents de l’hôpital, que le directeur lui donne donc.
La troisième cause d’accidents est la chute dans les escaliers. « Classique », dit l’inspecteur visiblement habitué : vous placerez des grillages au dessus de la rampe d’escalier pour éviter des accidents semblables. Le directeur prend note.
La deuxième cause d’accidents est la défenestration. L’inspecteur trouve également cela « classique » et impose donc au directeur la pose de barreaux aux fenêtres. Là encore, le directeur en prend bonne note.
Mais la première cause d’accidents est inscrite sur le registre avec le terme : « le figuier ». L’inspecteur est interloqué et demande au directeur de quoi il s’agit. Le directeur le prie de bien vouloir le suivre dans le jardin de l’hôpital pour qu’il se rende compte de lui-même de quoi il s’agit. Et voilà le spectacle – commenté par le directeur :
« Les malades grimpent habilement au tronc du figuier, puis ils s’accrochent à des branches, parfois pendant des heures… puis, subitement, ils se laissent tomber en criant : JE SUIS MÛR ! »
Un problème de pets
C’est un gars qui va consulter le médecin pour un petit problème.
L’homme :
– Vous voyez docteur [PROUT] j’ai ce terrible problème [PROUT] qui m’embarrasse [PROUT] vraiment : Où que j’aille je ne peux contenir ces pets [PRRRRROUT], mais ce n’est pas le plus embêtant… Je m’inquiète car mes pets qui sont si bruyants [PRRRRROUT] ne sentent rien. Pouvez-vous faire quelque chose pour mon problème intestinal, ça me rend dingue [PRRRRRORRRRROUT].
Le docteur (en pinçant son nez) :
– Tout d’abord, on va s’occuper de votre problème d’odorat !
La vasectomie

– Docteur, dit un homme d’une quarantaine d’années, je voudrais me faire faire une vasectomie.
– Attention, l’avertit le médecin. C’est là une décision fort importante qui n’engage pas que vous. Il faudrait d’abord en parler avec votre femme.
– Nous en avons parlé et elle est d’accord.
– Il faudrait en parler également à vos enfants, si vous en avez.
– Là-dessus, pas de problème non plus. Ils ont même procédé à un vote pour savoir si je devais ou non procéder à cette opération.
– Et alors ?
– Ils m’approuvent, par 19 voix contre 3.