Blagues politique

Ayez confiance…

Les hommes politiques parlent à leurs électeurs comme les hommes parlent aux femmes. Ils leur disent : « Faites-moi confiance, et vous verrez que tout ira pour le mieux avec moi ».

Et qu’est-ce qui se passe ? Neuf mois plus tard, vous êtes dans la merde !

La blague de la cravate présidentielle

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À l’Élysée, le chef du Protocole vient d’apprendre que le Président, Emmanuel Macron, doit recevoir un important chef d’état africain. Et comme de bien entendu, il est chargé de son accueil.

Après avoir enquêté auprès des services diplomatiques, il apprend que le plat préféré de ce chef d’état est la soupe à la tortue géante de mer. Il transmet donc l’information au cuisinier de l’Élysée afin que ce met de choix soit préparé.

Grace aux services secrets, le chef réussit à se procurer quelques exemplaires de ces reptiles chéloniens, pourtant protégés par les conventions internationales…

Quelques heures avant le dîner officiel, le chef du protocole descend en cuisine et voit le cuisinier, armé d’un hachoir, qui essaye, sans y parvenir, à couper la tête des tortues.
– Heu ? Vous faites quoi là mon vieux ? Le dîner, c’est dans moins de 4 heures… faudrait peut-être vous affoler, non ?
– Hé oh !!! Je voudrais bien vous y voir avec cette [CENSURE] de bestiole à la [CENSURE] !!! Chaque fois, que je veux lui couper le coup, elle rentre dans sa coquille !!!
– Poussez-vous et laissez-moi faire…

Le chef du protocole s’approche de la bestiole, s’empare du hachoir qu’il brandit et enfonce énergiquement son majeur dans le cul de la tortue. Gloups ! Fait la tortue en sortant sa tête et là TCHAC ! Son compte est réglé. Et ainsi de suite pour toutes les autres tortues…

Le cuisinier, éberlué, regarde le chef du protocole et lui fait :
– Ben ça alors…. OK pour la technique mais comment vous, un chef du protocole, pouvez-vous connaitre ce genre d’astuce ?
– Oh c’est rien… Vous savez, c’est moi qui, chaque matin, met sa cravate au Président…

Gandhi en Union Soviétique

Lorsque Gandhi visita l’Union Soviétique, Khrouchtchev l’emmena visiter Moscou dans sa limousine noire de chef d’état, la célèbre Zil.

Khrouchtchev avait des choses à dire à Gandhi sur son pays qu’il avait visité quelques temps auparavant. Il était vraiment très remonté sur l’hygiène désastreuse dans les rues indiennes :
« La dernière fois quand j’étais à Delhi », lui dit Khrouchtchev, « j’ai vu des excréments humains partout sur les trottoirs. Jamais une telle chose n’arrivera ici. »

Le pauvre Gandhi est extrêmement embarrassé par la remarque de Khrouchtchev, mais comme un fait exprès, il aperçoit un homme accroupi, visiblement en train de se vider le gros intestin au plein milieu d’un trottoir au long duquel le cortège de voitures officielles passe.

Gandhi pointe l’homme d’un index triomphal. Khrouchtchev est livide et n’hésite alors pas une seconde :
« Chauffeur, arrêtez-vous et allez coller une balle dans la tête de cet anarchiste ! »

Le chauffeur obéit et arrête immédiatement la voiture. Il prend son pistolet et s’avance vers l’homme qui commet le sacrilège de déféquer sur les trottoirs moscovites, et le doigt sur la gâchette, il échange quelques mots avec lui…

Une minute plus tard, il revient à la voiture sans avoir tiré le moindre coup de feu :
« Monsieur le Président, je ne peux pas tuer cet homme : c’est l’ambassadeur indien ! »

La blague de la politique selon papa

Un fils demande à son père :
– Papa, je dois faire une rédaction un peu spéciale pour l’école. Je peux te poser une question ?
– Bien sûr fiston. Quelle est la question ?
– C’est quoi, la politique ?
– Eh bien, la politique, c’est la chose publique, et pour te faire comprendre ce qu’est la chose publique, il n’y a rien de mieux que de prendre exemple sur le fonctionnement de la vie ici à la maison. Écoute et suis moi bien : Je suis un salarié, donc appelons-moi « le Capitalisme ». Ta mère est l’administrateur d’argent, donc nous l’appellerons « le Gouvernement ». Nous nous occupons de tes besoins, donc nous t’appellerons « les Gens ». Nous appellerons Kathy la jeune fille au pair, « le Prolétariat » et nous appellerons ton petit frère qui vient de naître « l’Avenir ». Est-ce que tu me suis jusqu’ici, fiston ? Avec ce raisonnement, tu vas pouvoir faire ta rédaction sur la politique.
– Je ne suis pas vraiment sûr, papa. Mais je te promets d’y réfléchir cette nuit.

La nuit, réveillé par les cris de son petit frère, le petit garçon se lève et va voir ce qui se passe. En découvrant que le bébé avait sali sa couche, il va voir ses parents dans leur chambre et trouve sa mère profondément endormie. Il va ensuite dans la chambre de la jeune fille au pair, et jetant un coup d’œil par le trou de la serrure, il voit son père dans le lit de la fille dans la posture bien connue de la « levrette ». Le petit garçon frappe à la porte de la chambre pour alerter son père, mais celui-ci, pris dans le feu de l’action ne l’entend pas. Et donc le petit garçon retourne dans sa chambre et tente de se rendormir.

Le matin suivant il annonce à son père :
– Papa, maintenant je pense que j’ai compris ce que c’est que la Politique !
– Bravo fiston ! Alors vas-y, explique-moi ça avec tes propres mots ?
– Eh bien, papa, tandis que le Capitalisme encule le Prolétariat, le Gouvernement dort à poings fermés, les Gens sont complètement ignorés et l’Avenir est dans la merde.