Blagues nationalités
Rafraîchissement écossais
En vacances en Écosse, le brave et honnête Martin prend en stop un automobiliste dont la voiture était tombée en panne d’essence. Les deux hommes sympathisent, et Martini apprend bientôt que son passager n’est autre que Angus MacDouglass, le propriétaire de la célèbre marque de whisky MacDouglass.
Arrivé chez lui, l’Écossais propose à Martin d’entrer quelques instants, et l’installe dans sa bibliothèque de son splendide manoir. Les minutes passent et Martin, un peu déçu de ne pas s’être vu proposer un verre de scotch en guise de remerciement, s’apprête à prendre congé.
– Attendez ! s’écrie Angus MacDouglass. Vous n’allez pas me quitter sans vous rafraîchir !
Et il se précipite vers une fenêtre qu’il ouvre en grand…
Enseignement communiste
Au temps de la glorieuse URSS, un instituteur soviétique interroge ses élèves :
– S’il éclatait une guerre entre les socialistes et les impérialistes, dans quel camp combattriez-vous ?
– Dans le camp socialiste, répond Igor.
Le maître d’école savoure les résultats de son enseignement qui paraît avoir été parfaitement assimilé. Mais il poursuit ses investigations :
– Et peux-tu me dire pourquoi tu choisis le côté socialiste ?
– Oui, camarade professeur. C’est parce que j’aime mieux être fait prisonnier par les autres.
La blague des trains chinois

Un homme a décidé de partir en voyage en Chine. Il se rend à la gare et s’adresse à un guichetier :
– Un billet pour Pékin, s’il vous plaît.
– C’est où, ça, Pékin ?
– En Chine.
– Ouh la ! s’exclame l’employé de la SNCF. Écoutez, moi ce que je peux vous donner, c’est un billet pour Berlin. Là, vous vous débrouillerez.
L’homme va à Berlin. De là, il prend un billet pour Moscou. À Moscou, il prend un billet pour Novosibirsk. À Novossibirsk pour Oulan-Bator, à Oulan-Bator pour Pékin, où il arrive après trois mois de voyage.
Comme ses congés sont plus que largement entamés, il se rend aussitôt à un guichet de la gare centrale chinoise.
– Un billet pour Châlons, s’il vous plaît ?
– Certainement, honorable étranger, lui répond le guichetier. Châlons-sur-Marne ou Chalon-sur-Saône ?
La blague des Anglais en France

Trois Anglais, le grand-père, le père et le fils passent un week-end à Paris. Ils s’installent dans un petit hôtel particulier en compagnie de leur fidèle valet de chambre, prénommé John.
Le soir venu, vers 20 h, le fils quitte la maison pour aller vivre sa vie. Vers 20 h 30, c’est au tour du père de s’en aller… À 21 h, c’est le grand-père qui passe le pas de la porte…
Vers 2 h du matin, le fils rentre, visiblement satisfait. John l’accueille :
– Monsieur a passé une bonne soirée ?
– Excellente, mon cher John… Ah si vous saviez, ces Françaises, quelle beauté mais surtout quelle fougue !
Une heure plus tard, c’est au tour du père de réintégrer le domicile.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John… Ah ces Françaises, quel charme mais surtout quelle expérience !
À 7 h du matin, voici le grand-père qui met doucement la clé dans la porte.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John, s’exclame le pépé… Ah, ces Françaises, quelle jeunesse, quelle classe et surtout quelle patience !