Blagues juifs

Le stérilet en or

Un juif va voir le rabbin :
– Demain c’est l’anniversaire de Sarah et je ne sais pas quoi lui offrir.
– Vous avez pensé à un collier ?
– Mais il y en a partout des colliers dans la maison, elle les perd tellement elle en a.
– Une bague alors ?
– C’est pareil, elle a plus assez de doigts pour les mettre.

Le rabbin vaguement excédé lui sort le premier truc qui lui passe par la tête :
– Et vous avez pensé à un stérilet en or ?
– Ah non, ça j’y avais pas pensé, merci rabbin.

Deux semaines plus tard, le rabbin et le juif se revoient :
– Alors ça lui a plus le stérilet ?
– Ah ça oui….. et en plus c’est la première fois qu’en lui offrant quelque chose, je rentre dans mon argent !

Le prix de la famille

Samuel et Joseph se rencontrent :
– Eh, Samuel, comment tu vas ?
– Ça va, ça va et ça va pas…
– Comment ça ?
– Bah, tu vois, Joseph, lundi, tout allait bien, j’avais gagné au tiercé ! Mercredi, tout allait bien, j’avais gagné au loto ! Et Jeudi, tout va mal, Joseph !
– Pourquoi donc, que s’est-il passé ?
– Bien, de tout ce que j’avais gagné, j’ai pensé pouvoir en consacrer un peu à trouver une jeune fille sympathique, tu comprends. Alors, on m’avait donné une adresse d’une fille superbe, jeune et tout et tout.
– Et alors ?
– Alors, Joseph, j’y suis allé. J’ai sonné et devine, Joseph, le grand malheur !
– Mais quoi donc ?
– La fille est venue ouvrir. Ah, Joseph, assieds-toi ! Ma propre fille, Joseph, ma propre fille !
– Et, qu’as-tu fait ?
– Eh, j’avais déjà payé !

Le nouveau Moïse

C’est la femme du rabbin Metzenbaum qui appelle son neveu, le psychiatre :
– Dis-donc, j’ai un conseil à te demander : ton oncle se prend pour le nouveau Moïse. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Le psy la rassure :
– Ne t’inquiète pas ma tante. Il a certainement la folie des grandeurs, c’est une petite lubie passagère
– Ouf, tu me rassures. Mais dis-moi tout de même, comment je peux l’empêcher de séparer les eaux dans la baignoire à chaque fois qu’il prend son bain ?

La blague du portefeuille en prépuces

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C’est l’histoire d’un rabbin qui faisait les circoncisions. Ce rabbin, peut-être un peu fétichiste, avait gardé tous les prépuces excisés depuis le début de sa carrière. Au moment de se retirer, il rend visite à un tanneur de ses amis et il lui demande ce qu’il peut obtenir avec sa « récolte ». Le tanneur lui promet de faire l’impossible pour obtenir quelque chose d’unique à partir des prépuces.

Un mois plus tard, le tanneur appelle le rabbin collectionneur pour lui dire que le travail est finit. Lorsque les deux hommes se rencontrent à nouveau, l’homme de foi se voit présenter un joli portefeuille. Surpris, le rabbin s’exclame :
– Quoi ? Je t’amène le produit de 30 années passées à circoncire tous les petits du Sentier, et toi tu ne parviens à me faire qu’un portefeuille ?
– Eh doucement ! D’accord, ce n’est qu’un portefeuille, mais si tu le frottes un petit peu, tu obtiendras une très jolie mallette…

Les rabbins réformistes

Trois rabbins réformistes se trouvent pris dans un terrible accident de voiture sur l’autoroute. Aucun des trois ne survit. Les voilà donc qui montent au ciel tous ensemble et qui se présentent devant l’Eternel qui les dévisage un par un, puis qui leur demande :
– Réformiste, je veux bien. Mais où est-ce que ça va s’arrêter ? Toi ! Goldblum par exemple, des cendriers dans ta synagogue pour que Mon peuple puisse fumer pendant qu’on lit la Torah ? Bon, allez, je peux faire avec. Les hommes sont faibles, mais le verbe est fort !

Goldblum soupire de soulagement voyant que le courroux de Dieu à son égard s’est apaisé.

– Bauman ! Tu exagères. Je peux accepter que Mon Peuple puisse avoir faim, mais vraiment, servir des sandwichs au jambon aux fidèles du temple pendant Yom Kippour, à quoi ça rime ?

Bauman baisse la tête tant il est honteux.
– Mais même ça, tu vois, je peux passer, même si ce n’est pas casher et même si ça ne me fait pas très plaisir. Un Dieu doit savoir prendre sur lui pour ces entorses aux préceptes qu’il a édicté.

Enfin, Dieu se tourne vers le troisième rabbin et il lui dit :
– Toi par contre, tu es allé trop loin ! J’en demandais trop peut-être ? Tout ce que MONSIEUR le rabbin MENDELBAUM trouve à faire en ces jours bénis de Rosh ha-Shana et de Yom Kippour, c’est de mettre une pancarte sur la porte de la synagogue qui dit « FERMÉ POUR CAUSE DE VACANCES » !