Blagues juifs

La blague du pain en plus

C’est papi Rosenberg, un veuf qui a pas loin de 90 ans, et tous les midis, il déjeune dans le même restaurant. Et tous les midis, il demande la soupe du jour qu’il mange avec les deux tartines de pain… Et tous les midis, quand il a finit son repas, il paie et s’en va sans rien dire.

Un jour, le directeur lui demande s’il apprécie la cuisine du restaurant. Le vieux lui répond avec son accent yiddish :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Alors le lendemain, la serveuse reçoit la consigne de fournir au vieux Rosenberg 4 tranches de pain au lieu de deux. Et après le repas, le directeur demande :
– Alors Monsieur Rosenberg, comment était le repas ?

Et le vieux répond :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Du coup, le jour suivant, le directeur dit à la serveuse de donner au vieux 8 tranches de pain au lieu de 4… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Ce qui fait que le jour d’après, la serveuse apporte carrément un pain de 600 g avec la soupe du vieux… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Cette fois, le directeur qui est devenu complètement obsédé par le vieux Rosenberg et son pain. Alors il va voir son boulanger et il commande spécialement un pain d’un mètre de long. Et lorsque le vieux Rosenberg commande sa soupe, il fait couper le pain en deux dans le sens de la longueur, puis il fait beurrer chacune des deux faces et fait disposer le tout à côté du bol de soupe de papi Rosenberg !

Le directeur laisse le vieux finir sa soupe, puis il vient lui demander comment était le repas aujourd’hui, pensant bien combler tous les désirs du vieux.

Et papi répond :
– C’était bon, comme d’habitude, mais je vois que vous en êtes revenu aux deux tartines de pain…

Les cadeaux de la mama juive

Ce sont trois fils d’une mama juive qui sont partis faire fortune à l’étranger. Pour les 60 ans de leur maman, ils discutent des cadeaux qu’ils ont décidé de lui faire.

Simon dit :
– Je lui ai fait construire une belle villa sur la Côte d’Azur !

Moshé dit :
– Je lui ai offert une Mercedes avec un chauffeur !

David, le troisième, dit :
– Vous vous souvenez que notre mère prend toujours beaucoup de plaisir à lire la Bible. Et vous savez que ses yeux ne sont plus si bons qu’avant… Et bien je lui ai trouvé un perroquet qui connaît la Bible par coeur et qui sera capable de lui réciter ! Maman n’aura qu’à lui donner le chapitre et le verset qu’elle souhaite entendre, et le perroquet lui fera la récitation mot pour mot. Je suis vraiment content d’avoir trouvé ce cadeau : ce perroquet a été entraîné plusieurs années et il figure même dans le Livre des Records !

La cérémonie a eu lieu, et une semaine plus tard, chacun des trois fils reçoit une lettre de remerciements de la part de la maman. Chaque lettre disait ceci :

« Simon, la maison que tu m’as fait construire est bien trop grande. Comment veux-tu que l’on habite là-dedans avec ton pauvre père ? On vit dans une seule pièce et toi tu m’en donnes une qui a dix pièces ? Tu veux que je me tue à faire le ménage ou quoi ? »

« Moshé, je suis bien trop vieille pour voyager. Les gens comme moi voyagent en voyage organisé avec les personnes du troisième âge. Sans compter que ton chauffeur conduit bien trop vite. Tu ne voudrais pas que je meure dans un accident de la route ? »

« David, toi au moins tu m’a offert un beau cadeau : ton poulet était peut-être un peu petit, mais il était délicieux. »

La mort du juif catholique

Sur son lit de mort, un vieux Juif se convertit au catholicisme. Le prêtre lui met dans la main un Christ d’argent. Dans un râle d’agonie, le mourant dit :
– Trente euros ! J’en donne trente euros !

La blague du divorce juif

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C’est le vieux Jacob qui téléphone à son fils à Paris et qui lui dit :
– David, il faut que je t’avoue quelque chose. Et c’est quelque chose qui ne se discute pas. Je t’en parle parce que tu es l’aîné et que tu dois savoir. Voilà… ma décision est prise, ta mère et moi on va divorcer !

Le fils tombe sur le cul en entendant ça et tout de suite il demande à son père :
– Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Vous vous êtes disputés ?…
– Je ne veux pas en parler. Et de toute façon ma décision est irrévocable !
– Mais papa, tu ne peux pas décider de but en blanc de divorcer de maman après 54 ans de mariage ! Dis-moi, que s’est-il passé ?
– Ca me ferait trop de peine d’en parler. Je t’ai simplement appelé pour te le dire parce que tu es mon fils, et que je pensais que tu devais être au courant. Maintenant, je voudrai qu’on arrête de parler de tout ça. Tu n’as qu’à appeler ta sœur et lui en parler si tu veux, ça m’évitera la peine de le faire.
– Mais… Où est maman ? Est-ce que je peux lui parler ?
– Non. Elle n’est pas là. Et je ne lui pas encore parlé de ça. Crois-moi, ça n’a pas été une décision facile à prendre. Ça fait plusieurs moi que je rumine ça mais cette fois ma décision est prise. J’ai déjà pris rendez-vous avec l’avocat !
– Papa, ne t’emballe pas s’il te plaît. Je prends le premier TGV et j’arrive. Ne fais rien d’irréfléchi en attendant.
– Hmmm bon d’accord. Demain c’est Pessah*, je vais reporter le rendez-vous avec l’avocat. Maintenant, appelle ta sœur et discutes-en avec elle. Moi je ne parle plus de ça par téléphone !

Une demi-heure plus tard, Jacob reçoit un appel de sa fille qui lui dit qu’elle et son frère prendront le train et arriveront dès demain. La fille ajoute :
– David m’a dit que tu ne voulais pas parler de ça au téléphone, alors on vient. En échange, promets de ne rien faire et ne rien dire jusqu’à ce qu’on arrive !
Et Jacob promet à sa fille.

Ensuite il raccroche, puis il se tourne vers sa femme et lui dit :
– Bon. Ça a marché pour cette année, mais je ne sais pas comment on fera pour les faire venir l’an prochain…

* La Pâque juive. Traditionnellement, lors de cette fête, la famille se réunit pour manger ensemble.

Les cadeaux de mariages juifs

C’est trois copains juifs qui se retrouvent au mariage d’un autre de leurs amis.

Le premier dit :
– Moi j’ai offert un service à fondue pour 8 personnes. Et vous ?

Alors le deuxième :
– Moi j’ai choisi un service à café pour 12 personnes.

Et le troisième :
– Ben moi j’ai offert une pince à sucre pour 100 personnes !