Blagues paysans
Prends-moi toute entière
C’est l’été et dans la campagne, on est en pleine moisson. Dans les champs, le fils Mastard et le fils Wasclez discutent tout en ramassant les bottes de paille.
Le fils Mastard raconte :
– Tu sais, la semaine dernière, une magnifique jeune femme est passée devant la ferme à vélo. Elle avait un pneu de crevé. Alors, je lui ai réparé, et une fois la roue remontée, pour me remercier, elle s’est approchée de moi, elle a retiré sa petite culotte, et elle m’a dit : « Vas-y ! Prends, prends tout ce que tu veux ! »
Et le fils Wasclez lui demande :
– Et alors, t’a fais quoi ?
– Ben, j’ai pris son vélo… Qu’est-ce que tu voulais que j’en fasse de sa culotte ?
Se nourrir de bouse de vaches
Un clochard rencontre son copain et lui dit :
– Oh la vache ! Qu’est-ce que j’ai bien mangé hier !
– Comment t’as fait ?
– Eh ben ! J’étais dans la cour d’une ferme à la sortie de la ville, et j’ai ramassé un crottin de cheval pour le manger. Alors le fermier est venu et il m’a dit : « Vous n’allez tout de même pas ingurgiter ça ?! Venez donc à la cuisine, je vais vous donner à manger. » Et là, il m’a servi du lard, du saucisson et du bon coup de rouge !
Son copain se dit que c’est une très bonne idée et il décide de faire pareil le jour même. Alors il se rend dans une ferme à l’autre bout de la ville, il ramasse une bouse de vache séchée et fait mine de la porter à sa bouche. A ce moment, le fermier arrive et s’écrie :
– Arrêtez donc malheureux ! Vous n’allez quand même pas manger cette vieille bouse toute séchée !!! Venez avec moi à l’étable là-bas, il y en a des toutes fraîches.
Des femmes et des vaches
C’est le fils Mastard qui voudrait bien se marier mais il ne sait pas y faire avec les femmes. Un beau jour, iI descend au village voisin et va voir son vieil ami le boulanger. Il lui explique son problème. Le boulanger lui répond :
– C’est pas compliqué les femmes. T’as qu’à regarder le taureau comment il fait avec la vache ! C’est tout pareil !
De retour à la ferme le fils Mastard fonce à l’étable. Il choisit la plus belle génisse et la coince dans le cornadis. Une fois bien entravée, il entreprend de lui faire subir les pires outrages…
Sa petite affaire terminée, il regarde la vache dans les yeux et lui dit en soupirant :
– Ah toi, si seulement tu savais faire la cuisine…