Blagues paysans

L’infidèle zoophile

Une fermière enlève un long cheveu blond sur le veston de son mari et se met à hurler :
– Tu me trompes.

Après avoir examiné la pièce à conviction, l’homme ricane :
– Tu vois bien que c’est un crin de cheval.
– C’est encore pire , rugit sa femme. Tu me trompes avec la jument !

Comment bien choisir une vache

Le petit garçon d’un fermier avait accompagné son père à la foire pour acheter une vache.
– Ce qu’il faut, lui expliqua le père, c’est la tâter sous tous les angles, pour être sûr que c’est une bonne bête.
Et, joignant le geste à la parole, il se mit à palper la vache, de la tête au bout des pattes, en passant par l’encolure et les pis.

Puis ils rentrèrent à la ferme avec la vache. Le fermier alla la conduire à l’étable tandis que le gamin partait jouer dans un champ. Soudain, l’enfant arriva en courant, très excité :
– Papa, papa, criait-il, derrière une meule, il y a un représentant, couché dans le foin, et à la façon dont il la tâte, je crois bien qu’il veut acheter ma sœur !

La technologie en Auvergne

Au fin fond de l’Auvergne, un touriste voit un berger portant une barbe longue de cinquante centimètres. Il l’interroge :
– Comment avez-vous eu l’idée de porter la barbe ?
– Eh bien, une année, ma femme m’a offert en cadeau un rasoir électrique. Alors, j’ai jeté mon vieux rasoir mécanique.
– Et votre rasoir électrique ?
– Je l’ai soigneusement rangé pour le jour où nous aurons l’électricité.

Vendre sa ferme aux anglais

Voulant vendre sa fermette, un paysan normand vise la clientèle des Anglais qui débarquent, chaque week-end, en force. C’est pourquoi il met, devant sa maison, un écriteau portant la traduction des mots « A vendre », en anglais : « FOR SALE ».

Le lendemain, un de ses voisins lui dit :
– Vous avez raison de signaler comme c’est crasseux, chez vous, mais si vous connaissiez l’orthographe, vous auriez écrit « fort », avec un t au bout.

Les coups de fourches sur les fesses

En réconfortant son petit ami qui se tient les fesses, piquées à grands coups de fourche, une jeune paysanne lui dit :
– Tu sais que tu es très sympathique à mon père. La preuve, c’est qu’avant de t’exprimer ses sentiments avec sa fourche à remuer le fumier, je l’ai vu prendre la précaution d’en désinfecter les pointes avec de l’alcool à 90°.