En pleine revue militaire au débotté dans la chambrée, un soldat montre une colossale érection…
Le sergent-chef, un sadique de première, lui flanque un coup sur la zézette et lui dit : – Ça te fait mal, garçon ? – NON CHEF ! – Ah tu n’as pas mal ? – NON CHEF ! C’EST LA BITE DU GARS QUI EST DERRIÈRE MOI, CHEF !
Un soldat se demande comment s’habiller pour aller à la guerre.
Un collègue lui indique que Napoléon s’habillait en rouge parce que s’il était blessé, ses ennemis ne pouvaient s’apercevoir qu’il saigne et en ainsi en tirer avantage.
Le soldat répond : « C’est une bonne idée, vas donc me chercher mes culottes brunes. »
C’est un jeune engagé volontaire, un jeune « qui n’en veut ». Il vient d’obtenir son départ pour la Bosnie dans la Force Internationale pour le maintien de la paix.
Comme les autres candidats au départ, il se fait briefer par le capitaine, en particulier, on leur explique bien le risque qu’ils encourent avec les mines…
Après son exposé, le capitaine demande si il y a des question. Alors le jeune caporal « qui n’en veut » lève la main : – Mon Capitaine, si par mégarde on pose le pied sur une mine, qu’est-ce que l’on doit faire ?
Le capitaine, tout à fait sérieux : – La procédure normale, caporal, est de sauter à 10 mètres dans les airs et de s’éparpiller sur un rayon d’autant de mètres.
C’est un gars se trouve pris en Stop par un car rempli de vétérans de la deuxième guerre mondiale, en route pour une visite au Mémorial de Caen. Le gars remercie tout le monde pour l’avoir fait monter, et il s’installe à la première place libre. Là, il se retrouve à côté d’un vieux monsieur qui toutes les dix secondes balance brutalement sa tête sur la gauche, juste du côté de l’auto-stoppeur.
Rapidement, l’auto-stoppeur s’énerve : – Je vous prie de m’excuser, mais j’aimerai savoir pourquoi vous donnez régulièrement de grands coups de tête, comme ça ? – Ah ça… C’est un souvenir de la bataille de Dunkerque !
Alors l’auto-stoppeur essaie une autre place libre. Mais rapidement, il s’aperçoit que là encore, le vieux monsieur n’a pas un comportement normal car sa jambe droite est prise de contractions à intervalles réguliers, ce qui fait que soit c’est l’auto-stoppeur qui se prend des coups de pieds, soit c’est le fauteuil d’en face.
Au bout d’un moment, le voyageur en a marre et pose la même question : – Je vous prie de m’excuser, mais j’aimerais savoir pourquoi vous donnez régulièrement de grands coups de pieds, comme ça ? – Ah ça… C’est un souvenir de la bataille d’Amiens !
Une fois de plus, l’auto-stoppeur essaie une autre place libre… Mais là encore, peu de temps après qu’il ait posé son derrière sur le siège, il se rend compte que son voisin est lui aussi victime de spasmes : il frotte sa main gauche sur sa manche droite sans s’arrêter !
Immédiatement, le voyageur lui dit : – Je parie que vous avez attrapé ça à la guerre !
Et le vieux monsieur lui répond : – Non mon gars, j’ai attrapé ça dans mon nez et je n’arrive plus à le décoller de mon doigt !