Dans une région ravagée par le choléra, un officier du service de santé des armées visite une caserne. Il interroge un sous-officier : – Quelles précautions observez-vous pour rendre l’eau potable ? – Eh bien, d’abord nous la filtrons. – Très bien. Et après ? – Nous la faisons bouillir. – Parfait. Et ensuite ? – Pour ne courir aucun risque, nous buvons de la bière !
C’est un jeune homme qui ne veut pas faire son service militaire, alors il fait croire qu’il n’y voit pas bien du tout. Il passe devant un ophtalmo qui lui montre un billet de cent euros et lui dit : – Vous voyez ce que je tiens entre les mains ? Si vous le voyez, c’est à vous. C’est quoi ? – Ben… je vois pas du tout ce que c’est. – Bon, très bien. (Il prend un billet de cinq cents euros.) Si vous voyez ce que j’ai entre les mains, c’est à vous. – Euh… Non, je ne vois rien du tout.
L’ophtalmo fait alors entrer une super nana complètement à poil et demande une nouvelle fois au jeune homme : – Si vous voyez ce que c’est, c’est également à vous ! – Non… je ne vois pas du tout !
Là, l’ophtalmo lui tâte un peu ce qu’il a dans le pantalon et déclare : – C’est fini, ce gros mensonge ?
Pendant la deuxième guerre mondiale, aux États-Unis, une dame de la haute société avait décidé de soutenir l’effort de guerre en invitant quelques valeureux p’tits G.I. qui allaient bientôt partir au casse-pipe à manger chez elle.
Elle appelle la base militaire toute proche et demande à parler au Major. Au Major, elle dit : – Major, pourriez-vous me trouver trois jeunes militaires qui seraient susceptibles de dîner ce dimanche soir à ma table. Mais de grâce, faites qu’aucun d’eux ne soit juif. – C’est bien compris, Madame, répond le Major.
Et nous voilà le dimanche soir. Sur le seuil de la porte de la dame se tiennent trois jeunes militaires en tenue impeccable, tous les trois sont NOIRS : – Bonsoir m’dame. Nous sommes ici sur votre invitation.
La dame est abasourdie. Elle en bafouille : – Mais, mais…. le Major a du faire une erreur ! – Oh, non M’dame, le Major Cohen ne fait jamais d’erreur ! répondent en chœur les G.I.
C’est dans une caserne militaire et il y a un sergent qui rassemble ses troupes en hurlant : – Cette nuit, on part en manœuvre ! Magnez-vous le cul ! Le camion part à 2h56 précise ! Les officiers dans le camion et les soldats dans la remorque !
Et il y a un soldat qui lève son doigt en disant : – Et la remorque, sergent, elle part à quelle heure ?
On demandait à un général de l’armée napoléonienne : – Et vous mon général, quand une femme vous défend de lui parler d’amour, est-ce que vous respectez la consigne ou est-ce que vous la violez ? – La consigne, je la respecte ; quant à la dame, tout dépend de son âge.