Blagues militaires

L’après-guerre en Irak

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Des indiscrétions d’une source proche du haut commandement américain ont filtré ! Il semblerait qu’après la fin victorieuse des hostilités en Irak, les États-Unis envisageaient la scission de l’Irak en deux parties, à l’instar de ce qui fut fait avec l’Allemagne à la fin de la seconde guerre mondiale.

Mais contrairement à l’exemple germanique, l’Irak n’aurait pas été scindé en Irak-Est et Irak-Ouest. Les militaires américains jugeaient plus judicieux d’utiliser les appellations « Sans plomb » et « Diesel ».

Les putes du Général et de l’Amiral

Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent ensemble chez le barbier de l’état major chez qui ils se font raser tous les matins.

Tous les deux ont fini d’être rasé en même temps, et à la fin du rasage, le troufion qui rasait le général s’apprête à lui passer un peu d’après-rasage… mais le général s’écrie :
– PAS DE CE MACHIN SUR MOI MALHEUREUX ! SINON MA FEMME VA CROIRE QUE J’AI ÉTÉ CHEZ LES PUTES…

Alors l’amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit :
– VAS-Y TU PEUX M’EN METTRE À MOI. MA FEMME NE SAIT PAS CE QUE ÇA SENT UNE PUTE !

Les souvenirs du vieux soldat

Un ancien soldat allemand de la deuxième guerre mondiale revient dans un village français ou il était affecté. Il rentre dans un bar, et engage la conversation avec la table voisine.
– Ach ! La kerre, kross malheur cette kerre. J’étais stazionné ici pentant la seconde kerre montiale.

Et à la table d’à côté, il y a un vieux sourd comme un pot, avec un jeune…
– Qu’est-ce qu’il dit ? Fait le vieux.
– Il dit que la seconde guerre mondiale était un malheur, rétorque le jeune.
– Ja, mais fotre fillage est magnifique. Je le connaissais très pien.
– Comment ? Fait le vieux.
– Il dit qu’il connaît bien le village, il y était…
– Mais alors, fait le vieux, il connaît sûrement Pierrette Dupuis ?
– Ach, ja ! Pierrette Dupuis, ja… Un frai folcan, cette femme. Ich habe un exzellent soufenir.
– Quoi ? Fait le vieux.
– Il dit qu’il connaît bien Maman, Papa !