Blagues justice

La blague du tas de caca

Un petit garçon s’amuse à faire des petits tas dans la rue avec des crottes de chien. Le flic du coin s’approche et lui dit :
– C’est dégoûtant, ce que tu fais, mon petit !
– Pas du tout, je suis un sculpteur…
– Et c’est quoi, cette œuvre immortelle ?
– Ben… ça se voit, non, c’est un flic !

Le vol de l’aviation

Deux bandits siciliens se rencontrent à une terrasse de café. Au bout de quelques temps, la conversation roule sur leurs enfants.
– Et le tien, Giuseppe, qu’est-ce qu’il devient ?
– Bah, le mien il fait son service militaire, tu sais, Gino.
– Ah bon ? Et il est dans quelle arme ?
– L’aviation, Gino.
– Et il vole beaucoup ?
– Oh, un bidon par-ci, un bidon par-là…

L’illégitime défense

L’avocat de la défense d’un type accusé d’avoir dépassé les limites de la légitime défense se lance dans sa plaidoirie :
– Votre Honneur, messieurs les jurés, pour bien comprendre dans quelle situation se trouvait mon client, je vous raconterai l’histoire de ce paysan qui disait à un vagabond : « Pourquoi avoir blessé mon chien avec les dents de cette fourche alors que tu pouvais te servir de l’autre bout ? » Et le vagabond lui répond : « Pourquoi votre chien m’a-t-il attaqué avec le bout de ses dents au lieu d’utiliser l’autre extrémité ? ».

La blague des testicules du nain

Un homme qui se soulage devant un urinoir remarque qu’un nain est en train de l’observer. Mais le besoin est pressant et il n’a pas envie de s’interrompre pour si peu de chose. Encouragé par l’absence de réaction, le nain approche un petit escabeau, grimpe dessus et observe pour ainsi dire à bout portant les parties intimes du monsieur.
– Ma parole ! s’exclame-t-il. C’est la première fois que je vois d’aussi belles balloches !

Surpris mais quelque peu flatté, l’homme bredouille des remerciements confus et s’apprête à refermer sa braguette.
– Un instant, s’il vous plaît, dit le nain. Ma demande va sans doute vous paraître bizarre mais me permettriez-vous de les tâter ? Elles sont tellement remarquables…

De plus en plus surpris mais aussi de plus en plus flatté, l’homme se dit qu’au fond, il n’y a pas grand mal et il accepte. Le nain tend les bras, s’empare de ses testicules et lance d’un ton menaçant :
– Ok mon pote. Maintenant, aboule ton portefeuille ou je saute de l’escabeau.