Blagues justice

La violence des signes

Un comédien, qui doit jouer le rôle d’un sourd-muet, apprend le langage des signes. À un moment, il glisse ce petit mot à son professeur :
– Et comment puis-je dire à un voyou qui m’attaque, dans une rue sombre pour me dérober mon portefeuille et mon portable : « Je vous prie de me laisser tranquille ? »

Réponse du professeur :
– Pour mieux vous faire comprendre, tenez donc à la main une batte de base-ball.

Le décapiteur

Au tribunal, l’avocat est en pleine plaidoirie :
– Messieurs les jurés, croyez-moi, au moment où mon client décapita les trois malheureuses victimes, je puis vous assurer qu’il n’avait pas sa tête à lui.

La conduite approximative

À un croisement, un agent de police fait stopper une voiture qui décrit des zigzags alarmants. Il s’informe du motif de ces fantaisies.
– J’apprends à conduire, déclare l’automobiliste.
– Comment, observe l’agent, vous apprenez à conduire sans moniteur ?
– Oui ! Je suis des cours par correspondance.

La discrétion du voleur

Au tribunal, un voleur est condamné pour vol par effraction dans la maison d’un couple. Après le verdict, le mari, discrètement, s’approche du condamné et lui demande tout bas :
– Dites-moi, comment avez-vous fait pour entrer chez nous à deux heures du matin sans que ma femme vous entende ?

Avec les pieds

Un cambrioleur est en train d’ouvrir un coffre-fort avec ses pieds.
– C’est peut-être plus long ! lance-t-il à son complice stupéfait, mais pour embrouiller les experts des empreintes digitales, il n’y a rien de tel !