Blagues justice

Le voleur de blouson

Un jeune garçon a volé un blouson dans un grand magasin. Au tribunal pour enfants, le juge l’interroge :
– Voyons, en faisant ce geste malheureux, as-tu pensé à l’avenir ?
– Oh non, monsieur le juge, sans ça, je l’aurais pris plus grand.

Le peintre et l’avocat

Aux Assises, un peintre est cité comme témoin dans un procès. L’avocat de la défense cherche à le discréditer pour diminuer la valeur de son témoignage.
– Le témoin peut-il affirmer qu’il n’est pas allé en prison ? insinue-t-il soudain.
– Si, une fois.
– Ah ! Ah ! triomphe l’avocat. Et pour quelle raison ?
– J’étais allé blanchir les murs de la cellule d’un avocat condamné pour escroquerie.

La puce à l’oreille

Un douanier vient demander conseil à son supérieur :
– Chef, j’ai dans mon bureau un individu que je suspecte de faire du trafic. Sa valise me parait louche.
– Eh bien, ouvrez-là, si vous voulez en avoir le cœur net ! dit le chef.
– Je me rends tout à fait compte que c’est ce que je devrais faire ! Mais voilà, j’hésite, répond le douanier, perplexe.
– Et pourquoi donc ? demande le chef.
– C’est que l’individu en question me nargue en me disant : Je suis dresseur de puces savantes, et tout ce que contient cette valise, ce sont mes 200 pensionnaires.

Le malhonnête

Dans ce repère de faux-monnayeurs, l’artiste qui a gravé la planche à fabriquer de faux billets de deux cents euros hurle :
– Je n’aurais jamais cru cela ! Il y a quelqu’un de malhonnête ici chez nous, il m’a volé mon vrai billet qui me servait de modèle !

Les poings masculins

Le président du tribunal interpelle le prévenu :
– Vous êtes d’une brutalité inacceptable avec votre épouse. Vous ne cessez de la battre, même la nuit !
– Si on peut dire. La nuit, je dors à poings fermés !
– Exact ! Votre femme s’en est plainte, avec preuves à l’appui.