Blagues école

Plus fort que des comédiens

Une lycéenne qui n’a pas fait le travail à la maison demandé par la prof de français, se lance dans une pathétique histoire pour se justifier. Alors qu’elle se tire les larmes, en ajoutant encore des détails, la prof lui dit :
– Tu as un comédien dans ta famille, pour mentir avec un tel aplomb ?
– Pas du tout, répond-t-elle. Ma mère est avocate et mon père, député.

Une profession si compliquée

La maîtresse a demandé à trois élèves d’indiquer la profession de leur père, d’épeler le mot qui la désigne et de construire une phrase expliquant en quoi ce que fait le père concerne tous les enfants.
– Mon père, dit le premier, est boucher, b-o-u-c-h-e-r. Si vous allez dans sa boutique, il vous vendra un bon bifteck.
– Mon père, dit le deuxième, est facteur, f-a-c-t-e-u-r. C’est lui qui, tous les jours, vous apporte le courrier.
– Moi, dit le troisième, mon père est oto-rhino-laryngologiste et, si vous ricanez bêtement parce que je ne sais pas épeler un mot pareil, il pourrait très bien vous tirer les oreilles le jour où il aura à les examiner.

La naissance des enfants

Une petite Française de dix ans a rédigé sur la naissance des enfants une composition :
« En France, les petites filles naissent dans les roses et les petits garçons, dans les choux. En Angleterre et en Amérique, les bébés sont apportés par une cigogne. Dans tous les autres pays, ils viennent au monde normalement ».

Le poteau de douleur

Dans la cour d’une école, une enseignante accourt auprès d’un petit garçon en pleurs et lui demande ce qu’il lui arrive.
– Je me suis cogné et j’ai très mal ! hurle le petit garçon.
– Mais où t’es-tu fais mal ? s’inquiète l’enseignante.
– Là ! répond le petit garçon en montrant un poteau.

Le professeur Culbuto

Au lycée, un professeur de sciences naturelles donne un cours sur la circulation du sang.
– Vous voyez, si je fais le poirier ou si je marche sur les mains, le sang s’accumule dans ma tête, et bientôt j’ai le visage tout rouge. Vous êtes d’accord ?
– Oui, s’exclament les enfants en chœur.
– Maintenant, pouvez-vous m’expliquer pourquoi lorsque je suis en position debout, le sang ne s’accumule pas pour autant dans mes pieds ?

Et là un des élèves répond :
– Parce que vos pieds ne sont pas vides…