Une autre vitrine innocente

Les perles : les journalistes

« La vitrine, qui gisait sur le béton, portait, nettement visibles, des traces de coups sur le crâne. »

(Nice-Matin, 31 mars 1981)

Rate this post

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.