poème femmes

Combattre

Si voilà la sirène
La reine des tourments
Alors vient dans l’arène
Toi qui jamais ne ment

Si ça cause plus en toi
Que de l’égarement
Lors jamais comme Roi
Tu ne seras amant

Si voilà l’éphémère
Qui demain sera morte
Lors ne soit pas amer
Si elle ferme sa porte

Si un jour dans un rêve
Tu étais dans son lit
Sans combat jamais d’Eve
Ne voudra compagnie

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Embruns

Perdu au milieu de la foule,
De la tempête des amours,
Perdu il échappe à la houle,
Aux femmes et à tous leurs atours.

De ce qu’il n’a jamais compris
Il recherche pourtant compagnie
Casanova n’a pas appris
Ce pour quoi même on le nie.

Regardant passer les amants
Peut-être comprendra-t-il un jour
Quel est le triste châtiment
De celui qui attends toujours

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Mensonge

Pourquoi faut-il qu’elle mente ?
Mais le pire des mensonges
Est celui que jamais l’on ne dit
Et que seulement l’on songe,
Aucune vérité ne tente.
C’est un mensonge sur sa vie
Dans lequel elle se plonge
Elle semble chercher le mépris
Avec son air toujours absente
Pourrais-je trouver ce qui la ronge ?

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.