blague vodka

La blague des russes rusés

Ça se passe en Russie. Deux gars complètement bourrés à la vodka sont en pleine virée. L’un des deux est triste alors que son copain est tout gai.
– Qu’est-ce qui te chagrine ? demande le joyeux.
– Ben, tu vois, c’est qu’à chaque fois que je rentre chez moi bourré, ma femme ferme la porte de la maison à clé. Et il faut que je reste dehors, à marcher dans les rues pendant des heures si je ne veux pas mourir gelé. Et ça me crée à chaque fois des problèmes avec la police. Et ensuite, quand ils apprennent au travail que je me suis fait ramasser par les flics, ils veulent me virer… Enfin tu vois, c’est pas terrible comme perspective…

L’autre lui répond :
– Tu sais, j’avais le même problème que toi l’année dernière, mais j’ai trouvé une solution : ma femme aussi fermait la porte de la maison en laissant la clé dans la serrure ; mais juste avant de frapper à la porte de chez moi, j’avais pris la précaution de me déshabiller sur l’escalier, et dès que ma femme ouvrait la porte, je balançais mes vêtements à l’intérieur. Aussi, ma femme me laissait rentrer pour éviter le scandale !
– T’as raison, je vais essayer ça en rentrant

Quelques semaines plus tard, les deux gars se retrouvent pour une nouvelle soirée de beuverie. Le triste est encore plus triste qu’avant.

Le gai lui demande :
– Alors ? Qu’est-ce qui s’est passé ? T’as pas essayé ma méthode ?
– Oui oui, je l’ai essayée. En rentrant, je me suis déshabillé, j’ai appuyé sur la sonnette, la porte s’est ouverte, j’ai balancé tout mes vêtements, puis la porte s’est refermée, et j’ai entendu « Prochaine station : Place Rouge ».

La blague de la Vodka russe

C’est une histoire vraie qui s’est passée en Russie, il y a quelques temps…

Un exportateur de Vodka tentait d’obtenir auprès des services concernés les papiers nécessaires à l’expédition de ses produits vers l’Europe.

Mais un bureaucrate véreux exigeait un bakchich de 10.000 dollars pour signer le tout.

En apprenant ça, l’exportateur se rendit auprès dudit fonctionnaire, discuta avec lui. Mais l’autre ne voulait rien savoir ; il exigeait toujours 10.000 dollars.

L’exportateur lui signala tranquillement que son prix était beaucoup trop élevé, surtout qu’il lui était très facile de trouver qui n’hésiterait pas à assassiner le bureaucrate pour moins de 2.000 dollars…

La vodka pu sortir de Russie sans problème…

La corruption en Russie

En Russie, de nos jours, un exportateur de Vodka tentait d’obtenir les papiers nécessaires à l’expédition de ses produits auprès des services concernés.

Mais un bureaucrate véreux exigeait un bakchich de 10 000 dollars pour signer le tout.

En apprenant ça, l’exportateur lui répondit que le prix était un peu élevé, surtout qu’il pouvait faire assassiner le bureaucrate pour 2 000 dollars seulement…

… Et la vodka put alors sortir de Russie sans problème..