blague viol

Parabole de l’happe-aïe et la poutre

(Évangile selon Fesse-Matthieu)

dessin humoristique de Glon sur l’affaire Gabriel Matzneff et la relaxe de Philippe Barbarin
31 janvier 2020 – Parabole de l’happe-aïe et la poutre

Moins cher que Dupond-Moretti : Gabriel Matzneff trouve sur Le Bon Coin le costume du parfait relaxé.
Gabriel Matzneff : « Pour seulement 25€… Ne laissez plus votre poutre vous mettre sur la paille ! »
(Caricature forces de l’ordre – Dessin du 31 janvier 2020)

Franc-Maçonnerie : ça recrute !

dessin de Miss Lilou sur la Franc-maçonnerie et la pédophilie
15 janvier 2020 – Franc-Maçonnerie : ça recrute ! – 1

Franc-Maçon : « – Vous allez me révéler vos cachotteries ?
– Qui a parrainé ce dindon ? »
(Caricature Francs-maçons – Dessin du 15 janvier 2020)

dessin de Miss Lilou sur la Franc-maçonnerie et la pédophilie
15 janvier 2020 – Franc-Maçonnerie : ça recrute ! – 2

Franc-Maçon : « – Chouette ! Je vais pouvoir violer et torturer des gamins fraternellement en toute discrétion !
– Qui a parrainé ce dindon ? »
(Caricature Francs-maçons – Dessin du 15 janvier 2020)

Immunité « artistique »

Doit-on séparer la personne de l’artiste ? Si la personne est prépubère et l’artiste un vieux dégueulasse, oui !!!

dessin de Zaïtchick sur une jeune fille qui veut qu'on la sépare de vieux artistes dégueulasses
5 janvier 2020 – Immunité « artistique »

Jeune fille : « Je suis une personne ! Vous pouvez me séparer de ces artistes, S.V.P. ? »
(Caricature Gabriel Matznef et Roman Polanski – Dessin du 5 janvier 2020)

La mauvaise langue de l’avocat

Les perles : la justice

Dans une affaire de viol, la victime s’avance à la barre et lance, du bout des lèvres :
– Depuis cette triste affaire, je n’éprouve plus de plaisir avec les hommes.

Un avocat lâche alors en aparté :
– C’est faux. Il n’y a pas de femmes frigides. Il n’y a que des mauvaises langues !

Nom d’une fellation !

Les perles : la justice

Devant la cour d’assises, un homme est accusé de viol. Un viol commis dans une voiture. Le président s’efforce, comme l’exige l’oralité de la procédure, de faire raconter la scène à la victime qui, terrifiée de peur, n’ose dire mot. Le président insiste, mais en vain, puis il finit par exploser : « Mais, nom d’une pipe, dites-le ce qui s’est passé ! » Fou rire général, quand le président comprend qu’il a tapé dans le mille, mais que la victime, hélas, restera désespérément muette.