Les juifs ont porté l’art de la malédiction et de l’anathème à des sommets rarement égalés. Pourquoi ?
Parce qu’une bonne malédiction, ça n’a pas de prix…
Exemple d’une petite malédiction juive ?
« J’espère que tu deviendras tellement riche que le second mari de ta veuve n’aura jamais à travailler pour vivre. »
C’est un gars qui se rend chez son copain pour récupérer des outils. La femme du copain lui ouvre la porte ; elle est toute triste.
Le gars dit :
– Bonjour Martine. Est-ce que Bernard est là ?
Martine lui répond en sanglotant :
– Bernard a eu une terrible attaque ce matin pendant que nous prenions le petit-déjeuner… Il est mort devant moi.
Le copain reste pensif quelques secondes puis il dit :
– Et il ne t’a pas parlé de ma boîte à outils ?
C’est la femme d’un jockey dont le mari vient de mourir. Elle doit aller reconnaître son cadavre à la morgue. Le médecin ouvre un tiroir et lui demande :
– C’est lui ?
– Non, non, c’est pas lui.
Un autre tiroir coulisse.
– C’est lui ?
– Non, c’est pas lui.
– Et là ?
– Non.
– Et celui-là ?
– Oui, oui, c’est lui ! Je le reconnais bien là : jamais dans les trois premiers…
