Un mari rentre chez lui plus tôt que de coutume et trouve sa femme très occupée sur le canapé avec un inconnu. Quelques jours plus tard, il rencontre son meilleur ami et lui raconte ses malheurs. – Qu’est-ce que tu as fait ? – J’ai claqué la porte un bon coup en partant pour bien montrer que je n’étais pas content ! – Oui, mais encore ? – Eh bien, j’ai vendu le canapé !
Un gars rentre dans une pharmacie et regarde un peu partout sur les présentoirs si il peut trouver ce qu’il recherche.
L’assistante le remarque et lui demande : – Bonjour monsieur, vous recherchez quelque chose ? – Oui, je recherche une boite de tampons pour ma femme.
L’assistante lui indique où se trouve le rayon hygiène intime.
Un peu plus tard, le gars arrive au comptoir et y dépose un gros paquet de coton hydrophile…
L’assistante lui dit : – Mais monsieur, je pensais que vous vouliez des tampons, vous ne les avez pas trouvés ? – Oh si, mais je vais vous dire : Hier j’ai envoyé ma femme au débit de tabac pour m’acheter une cartouche de cigarettes, et elle est revenue avec des feuilles de Rizla croix et du tabac à rouler. Alors j’ai décidé que si je devais me les rouler, eh bien, ELLE AUSSI !
Un représentant de commerce rentre de tournée et entend, avec fureur, un de ses deux perroquets répéter, d’une voix langoureuse : – Embrasse-moi, chéri… Embrasse-moi, chéri.
Fou de jalousie, il flanque une correction à sa femme et, le lendemain, il repart pour ses affaires.
À son retour, le perroquet dénonciateur a disparu, emporté par un coup de chaleur, selon la femme du représentant. Celui-ci, voulant en avoir le cœur net, interroge le volatile survivant : – Dis-moi, que s’est-il passé ? – Je ne parlerai, répond le perroquet, que loin du four et en présence de mon avocat.
Ronald Reagan, au bout de ses deux mandats, s’était forgé une horrible réputation auprès de ses nègres chargés de rédiger ses discours.
En effet, quelle que soit la qualité du travail fourni, cela n’était jamais à son goût. Aussitôt le discours terminé, il mettait un point d’honneur après être descendu de la tribune, à hurler sur le nègre de service.
L’attitude était très peu appréciée. D’autant plus que les nègres savaient que les connaissances de Reagan en matière de discours étaient très limitées.
Un jour, le président monta à la tribune afin de prendre la parole sur un sujet particulièrement technique. Il commença à annoner la première page, puis la seconde. Enfin, il attaqua la troisième. Celle-ci avait été entièrement griffonnée par le nègre vengeur. Totalement illisible.
Dans la marge figurait la mention : « Et maintenant vieux con, démerde-toi tout seul. »