blague troufion

Engagé pour la paix

Pendant la guerre, sur le front, deux troufions discutent :
– Dis-donc, pourquoi es-tu ici, toi ? Tu n’as pas 18 ans donc tu n’as pas été appelé ?
– Oh ! moi, c’est simple : je suis seul et j’aime la guerre. Alors vois-tu, je me suis engagé. Et toi, que fais-tu ici ? Tu as plus de 50 ans et toi non plus tu n’as pas été appelé ?
– Eh bien moi, j’ai une femme et j’aime la paix. Alors je me suis engagé.

Les putes du Général et de l’Amiral

Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent ensemble chez le barbier de l’état major chez qui ils se font raser tous les matins.

Tous les deux ont fini d’être rasé en même temps, et à la fin du rasage, le troufion qui rasait le général s’apprête à lui passer un peu d’après-rasage… mais le général s’écrie :
– PAS DE CE MACHIN SUR MOI MALHEUREUX ! SINON MA FEMME VA CROIRE QUE J’AI ÉTÉ CHEZ LES PUTES…

Alors l’amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit :
– VAS-Y TU PEUX M’EN METTRE À MOI. MA FEMME NE SAIT PAS CE QUE ÇA SENT UNE PUTE !

Le colonel et l’érection

humour, blague sur l'armée des Indes, blague sur les colonels, blague sur les érections, blague sur les permissions, blague sur les militaires, blague sur l'homosexualité

Un colonel de l’Armée des Indes passe ses troupes en revue dans une garnison du Penjab. Lors de son passage, un des hommes montre une énoooorme érection.

« Sergent-Major ! » hurle le colonel, « Donnez à cet homme une permission d’un mois pour qu’il puisse retrouver ce qui visiblement lui manque. »

« Yessir ! » Répond le sergent major.

Quelques mois plus tard, le colonel est de retour dans la même garnison du Penjab et repasse la troupe en inspection. Comme la fois précédente, le même soldat fait montre d’un splendide « gourdin » au passage du colonel.

« Sergent-Major, vous donnerez à cet homme deux mois de repos parmi les siens. Il semble qu’il ait encore besoin de retrouver celle qu’il aime. »

Un an plus tard, le colonel refait une nouvelle tournée d’inspection, et cette fois encore, le même soldat fait montre d’un braquemart gigantesque au passage pendant la revue. Le colonel est en colère :
« Sergent-Major, n’ai-je pas renvoyé cet homme chez lui par deux reprises déjà ? Alors comment se fait-il qu’il semble toujours travaillé par le désir ? »

Le sergent-major salue et répond :
« Sir, c’est de vous qu’il est amoureux, sir ! »