blague trans

La blague de l’arnaque à la photo

Après une longue nuit d’amour intense et torride, un gars se retourne sur le dos et regarde un peu partout dans la chambre de sa partenaire. Il voit la photo encadrée d’un homme sur la table de chevet près du lit. Naturellement, il commence à paniquer.
– C’est ton mari ? demande-t-il nerveusement.
– Ben non, idiot ! Répond-elle en se blottissant contre lui.
– Ton ami alors ?
– Pas du tout ! dit-elle en lui grignotant une oreille.
– C’est ton père ou ton frère ? dit-il pour se faire rassurer.
– Bien sûr que non ! dit-elle en riant.
– Mais, c’est qui alors ? demande le gars perplexe.

Calmement, la fille le ramène sur elle, l’enlace fermement dans ses bras et, lui murmure à l’oreille :
– Moi avant mon opération…

La blague de la pute fortunée

À New York, dans son bar favori, un type aperçoit une bombe entrer au bras d’un mec d’une laideur inénarrable. Il demande au barman s’il connaît la fille et est surpris d’apprendre que c’est une prostituée.

Il la regarde tout le reste de la soirée, en se disant qu’il pourrait s’offrir une telle beauté. Il revient le lendemain. La gueuse est là, seule. Il prend son courage à deux mains et l’aborde.
– Est-ce vrai que vous êtes une prostituée ?
– Bien sûr, mon grand loup. Que puis-je pour toi ?
– Ben, je ne sais pas. Combien vous prenez ?
– 500 euros pour une branlette.
– 500 la branlette ? Mais ça ne va pas ?!
– Tu vois, la Ferrari garée devant le bar ?

Le type zieute et voit une Ferrari rouge rutilante.
– J’ai payé cette Ferrari en liquide, avec l’argent que j’ai gagné de mes branlettes et crois-moi, ça les vaut.
Le type réfléchit un peu et se décide.

Ils partent ensemble et le type reçoit la plus phénoménale branlette qui soit, mieux qu’une nuit complète d’amour : la plus extraordinaire expérience de sa misérable vie.

La nuit suivante, il l’attend avec impatience au bar et, quand elle entre, l’aborde immédiatement.
– La nuit dernière était incroyable !
– Bien sûr que c’était incroyable et encore, tu n’as pas goûté à mes pipes…
– Et c’est combien ?
– 1000 euros.
– 1000 euros, c’est impossible !
– Tu vois l’immeuble grand standing, en face de la rue ?

Le type regard l’immeuble de 12 étages.
– J’ai payé cet immeuble en liquide avec l’argent que j’ai gagné de mes pipes et crois-moi, ça les vaut.
Basé sur son expérience de la veille, le type se doit d’essayer.

Il part avec elle et, une fois encore, il n’est pas déçu. Il manque même de s’évanouir de plaisir.

La nuit suivante, il peut à peine se contenir, tant il est impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :
– Je suis accro ! T’es la meilleure ! Dis-moi, combien ça me coûte pour ta chatte ?

Elle le prend par la main, l’emmène sur le trottoir et lui montre le bas de la rue où, entre deux immeubles, il peut entrapercevoir Manhattan.
– Tu vois cette île ?
– Non, arrête tes conneries ! Tu veux quand même pas dire que…

Elle hoche de la tête :
– Oui oui, si j’avais une chatte, Manhattan m’appartiendrait.

Le maître d’hôtel et sa ravissante patronne

James travaille comme maître d’hôtel chez un couple fortuné. La femme, ravissante, est beaucoup plus jeune que son mari. Un soir, ils annoncent à leur valet qu’ils rentreront très tard, mais l’épouse revient beaucoup plus tôt que prévu. :
« James, dit-elle, venez dans ma chambre. »

Il la suit. Elle ferme la porte :
« Enlevez ma robe », ordonne-t-elle. Il obéit.
« Mes bas, maintenant. » Il les ôte.
« Et mes dessous ! » Il s’exécute.

« Bon, James, » fait-elle en le regardant dans les yeux, « que je ne vous reprenne plus à porter mes vêtements ! »