blague touriste

Bon baisers d’Hawaii

Un brave touriste belge réalise le rêve de sa vie : passer enfin des vacances à Hawaii. Dès l’instant où son avion se pose, c’est le paradis. Il fait beau, il fait chaud, le ciel est d’un bleu immaculé, une douce brise agite les feuilles des palmiers et une charmante jeune femme s’avance vers lui, un collier de fleurs à la main.
– Aloha d’Hawaii, dit-elle en le lui passant autour du cou.
– Jeff, de Namur, répond le Belge.

Arnaque écossaise

Un groupe de touristes faisant le tour de l’Écosse s’arrête dans un coin perdu en pleine campagne et visite une vieille grange à moitié en ruine sur la porte de laquelle il y a un écriteau portant ces mots : « Magasin d’antiquités ».

Ils font le tour en regardant quelques bols ébréchés, des marmites dont le fond est percé, et au moment où ils vont franchir le seuil de la grange, un Écossais, qu’ils n’avaient pas vu, s’avance vers eux et leur dit :
– C’est dix pence par personne… pour la visite du musée !

La bière de Munich

Deux touristes français se rendent aux fameuses fêtes de la bière de Munich, et s’attablent devant d’énormes chopes.
– Alors, leur demande le patron. Fous la trouvez ponne ?
– Pas mauvaise, répond le premier Français, mais elle a un drôle de goût sucré…
– Ah bon ? fait son voisin. Moi je lui trouve plutôt une certaine amertume.
– Ach, c’est normal ! fait le patron avec un gros rire. À Munich, nous afons l’habitude de faire d’une pière deux goûts !

Le grand millésime

Un touriste américain a décidé de se payer un gueuleton dans le Bordelais. Au moment où on lui apporte le vin, une bouteille de derrière les fagots et d’un vieux millésime, il appelle le maître d’hôtel, furieux.
– Hey, you ! Au prix où on paie le vin, on pourrait tout de même avoir une bouteille neuve !

Les moutons du berger

Un touriste se promène dans la campagne et rencontre un berger qui garde un troupeau de moutons.
– Bonjour. Vous avez combien de moutons ?
– J’sais pas.
– Vous ne les avez pas comptés ?
– Oh, si ! mais à chaque fois que j’arrive à soixante-treize, je m’endors !