blague toilettes
De la diversité des Suisses aux toilettes
La scène se passe aux toilettes de la Gare à Berne.
Un Tessinois, un Romand et un Alémanique se retrouvent aux pissoires.
Une fois son travail fini, le Tessinois range ses outils, se rend au lavabo et se lave les mains. Le robinet est ouvert au maximum, il prend cinq fois du savon et se lave abondamment les mains, ensuite il prend une dizaine de serviettes afin de s’essuyer les mains, et dit a ses deux voisins :
« Chez nous au Tessin, l’hygiène est la première règle que l’on enseigne aux enfants !!! »
Une fois son travail fini, l’Alémanique range ses werke, se rend au Hahn et se lave les Hande. Le robinet coule légèrement, il prend une fois du savon et se lave les mains, ensuite il prend une serviette afin de s’essuyer les mains, et dit a ces deux voisins :
« Chez nous en Suisse allemande, être économe est la première règle que l’on enseigne aux enfants !!! »
Une fois sont travail fini, le Romand range son monstre, passe a côté du lavabo et dit a ses deux voisins :
« Chez nous en Suisse romande, la première chose que l’on enseigne aux enfants c’est de ne pas se pisser sur les mains !!! »
La blague des chiottes en or

Dans un bar, un mec complètement bourré demande au barman les toilettes qui les lui indique par des « au fond, à gauche puis à droite ». Le gars s’y rend, ouvre la porte et là, stupéfaction, il voit des chiottes en OR ! Le plaisir est à son comble et le gars décide d’y mettre le paquet…
Le lendemain, l’ivrogne rencontre un de ses potes et lui raconte qu’il a chié dans des chiottes en or en lui précisant où se trouve le café. Le copain n’y croit pas trop mais décide de se rendre dans ce bar pour vérifier. Arrive devant le barman il demande :
« Où sont vos chiottes en or ? »
Le barman tournant son regard de l’autre côté du bar :
« Eh Raymond, j’ai trouvé celui qui a chié dans ton sax. »
Alain Delon dans les toilettes du Fouquet’s
Alain Delon est dans les toilettes du Fouquet’s.
La dame-pipi le regarde sortir et constate que son pantalon est tout mouillé :
– Mais monsieur Delon, que vous arrive-t-il ? – Ma pauvre Dame, chaque fois que je me rends à des urinoirs, les voisins me reconnaissent et se tournent vers moi en disant « Oh Alain Delon ! »