blague tigres

Toto et les tigres

blague Toto, blague tigres, blague cirque, blague dompteur, blague accident, blague mort, blague nourriture, blague sensibilité, blague pleurs, blague tristesse, humour méchant, humour

Toto est allé au cirque pour voir les tigres. Au milieu de la piste, on a dressé une immense cage, et dans la cage, il y a un dompteur avec une douzaine de tigres. Le dompteur fait claquer son fouet, mais voilà que soudain, il glisse dans la sciure et il s’étale par terre.

Aussitôt, tous les tigres se jettent sur lui, et en trois secondes, il n’en reste plus rien, même pas un ongle, à peine un peu de sang sur les babines des fauves.

Alors, les spectateurs se mettent à hurler de terreur et Toto fond en larmes. Son papa le prend par le bras et lui dit :
– Allez ! On rentre à la maison ! T’es trop sensible fiston ! Le dompteur, il lui est arrivé un accident, mais ce sont les risques du métier !

Et Toto crache entre deux sanglots :
– C’est pas pour le dompteur que je pleure !
– Alors, c’est pour quoi ?
– C’est pour le petit tigre. Quand il est arrivé, les autres avaient déjà tout bouffé, il ne lui est pas resté un seul morceau…

La blague des dangers de la jungle birmane

blague américains, blague guerres, blague insectes, blague animaux, blague tigres, blague moustiques, blague jungle, blague Birmanie, humour drôle

En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G.I. avant que ceux-ci partent au combat :
« G.I.’s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois grands dangers de la jungle :

Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants. Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et vous vaporisez ; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la poche droite, vous vaporisez jusqu’à ce que les moustiques soient tous morts et vous survivrez aux moustiques.

Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur : vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous tirez sur les niakwés ; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans la poche gauche, vous tirez jusqu’à ce que tous les niakwés soient morts et vous survivrez aux niakwés.

Le troisième danger, le pire, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous n’avez que votre courage et la tactique que je vais vous donner :
Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que vous puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui tordez le cou, et c’est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé orange et noir.

Voilà G.I.’s, vous êtes prêts à partir… Bonne chance ! »

Un mois après, les G.I.’s rentrent de leur mission. Le colonel est là et interroge les soldats :
« Ahh, colonel, c’était terrible… Les moustiques, des nuées de moustiques… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le fly-tox, j’ai vaporisé, j’ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s’est vidée, j’ai pris la bombe de rechange dans la poche droite, et j’ai continué à vaporiser. La deuxième bombe s’est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j’ai pris la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à vaporiser… Au moment où la bombe finissait, j’ai tué le dernier moustique qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »

Un deuxième soldat :
« Ahh, colonel, c’était terrible… Les niakwés, des nuées de niakwés… Mais j’ai fait comme vous nous avez conseillé : j’ai pris le pistolet-mitrailleur j’ai tiré, j’ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur s’est vidé, j’ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j’ai continué à tirer. Le deuxième chargeur s’est vidé, et il y avait encore des niakwés, alors j’ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j’ai continué à tirer… Au moment où le chargeur finissait, j’ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J’étais sauvé. »

Alors le colonel voit arriver un G.I. sur une civière; il est complètement explosé, lacéré, en sang, au bord de l’inconscience.
– Mais, G.I., que s’est-il passé ? Les niakwés ?
– Oh non, colonel, c’est le terrible serpent mamba rayé orange et noir !
– Mais je vous avais pourtant dit comment procéder !
– Oui, mon colonel, et j’ai fait comme vous l’aviez dit ! J’ai vu le terrible serpent mamba rayé orange et noir, j’ai fait le tour, j’en ai pris le bout de la queue entre le pouce et l’index, sans serrer, et j’ai remonté doucement le long de la colonne vertébrale jusqu’à ce que je puisse serrer le cou juste derrière la tête. Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j’aurais bien voulu vous y voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d’un tigre !