Un damné téléphone de l’enfer à un copain bienheureux qui a mérité le Paradis : – Ici, cela ne va pas trop mal. Comme on est très nombreux, on travaille deux ou trois heures par jour, pour allumer les feux. Le reste du temps, on se la coule douce. Et toi, au Paradis, comment va ? – Ne m’en parle pas, répond l’autre. Un travail fou : on se lève à six heures, on se couche à minuit. Je n’en peux plus ! – Mais comment, demande le damné, comment cela se fait-il ?
Le bienheureux répond : – C’est à cause de la main d’œuvre ! Il n’entre jamais personne ici !
C’est l’histoire d’un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste en face d’où il habite, Il décide de téléphoner au commissariat… [dring-Drrrrring] (ça c’est le téléphone qui sonne chez les flics) – Bbb..bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est…c’est…c’est… c’est l’co..co…co…commisss…missariat ? – Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? – Y..y..y…y’a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – À la rue Garibaldi ? – Nnnon ! A la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – Bon, écoutez: je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! [clac !] (ça c’est le flic qui raccroche)
Cinq minutes plus tard : [dring-Drrrrring] (ça c’est le téléphone qui sonne chez les flics) – Bbb..bbb.bbb…bonjj jj…bonjour! C’est…c’est…c’est… c’est l’co..co…co…commisss…missariat ? – Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? – Y..y..y…y’a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – À la rue Garibaldi ? – Nnnon ! A la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – Bon, écoutez : je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! [clac !] (ça c’est le flic qui raccroche)
Puis encore cinq minutes plus tard : [dring-Drrrrring] (ça c’est le téléphone qui sonne chez les flics) – Bbb..bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est…c’est…c’est… c’est l’co..co…co…commisss…missariat ? – Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? – Y..y..y…y’a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – À la rue Garibaldi ? – Nnnon ! A la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – Bon, écoutez : je n’ai pas que ça à faire, hein ? Alors bonne journée ! [clac !] (ça c’est le flic qui raccroche)
Enfin, UNE HEURE PLUS TARD : [dring-Drrrrring] (ça c’est le téléphone qui sonne chez les flics) – Bbb..bbb.bbb…bonjj jj…bonjour ! C’est…c’est…c’est… c’est l’co..co…co…commisss…missariat ? – Allô ? Oui c’est bien le commissariat. Que voulez-vous ? – Y..y..y…y’a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr…rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Gaga… – À la rue Garibaldi ? – Ouiiiiiii! A la rr..rrue Gaga…Ga..Gaga..Garibaldi ! – Mais il fallait nous le dire plus tôt ! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? – Il a ff..ff..ffallu qu..qq..q.que j.. je. jj..j que jj.. que je le déplace !
– Vas-tu te décider à raccrocher ce téléphone ! Voilà une demi-heure que tu le monopolises, dit un monsieur à sa femme. – Bon. Je vous quitte, fait la bavarde. Mon mari s’impatiente. A bientôt, j’espère…
Elle raccroche et questionne : – Ça y est, tu es content ? Tout de même, cette dame méritait bien quelques égards. C’est le plus aimable des faux numéros sur qui je sois tombée depuis longtemps.
– Coco, mon perroquet, je pars quelques jours en vacance, tu dois me promettre de ne pas téléphoner trop souvent à cause de la facture de téléphone ! – Pas de problème patron !
De retour de vacance : – Coco, 2000 euros de note de téléphone, c’est pas possible ! – Ben ! J’ai téléphoné à mes parents en Afrique du Sud ! – Tu es un vilain perroquet, je vais te clouer les ailes au mur pour te punir et te laisser une journée comme cela !
Coco cloué au mur remarque un crucifix en face de lui. Il demande à Jésus-Christ depuis combien de temps il est cloué, il lui répond : – Cela va bientôt faire 2000 ans. – Alors, t’as dû téléphoner vachement loin !
Alors c’est une blonde qui rend visite à sa copine blonde. Mais la copine a deux gros pansements, un sur chaque oreille : – Oh dis donc qu’est-ce qui t’es arrivé ? – Ben, c’est tout bête. L’autre jour, alors que j’étais en train de faire mon repassage en regardant Santa Barbara à la télé, le téléphone a sonné… et au lieu de décrocher mon téléphone, j’ai décroché mon fer à repasser ! – Oh la la, qu’est-ce que t’as du avoir mal. Mais dis-moi, et l’autre oreille ? – Ben, après j’ai voulu appeler le médecin…
