blague synagogue

Comment se faire remarquer par Dieu

David Benchemoul, le fameux homme d’affaire mondialement connu dans le sentier, est dans une mauvaise passe. Pour éviter la faillite, il lui faut trouver la bagatelle de deux millions d’euros.

En désespoir de cause, après avoir fait le tour de tous ses amis et de toutes les banques sans succès, il se rend à la synagogue pour prier et demander un miracle. Il s’installe à côté d’une autre personne déjà en train de prier et s’apprête à implorer Dieu lorsqu’il entend l’autre psalmodier :
« S’il te plaît D…, je dois 100 euros à mon copain Michel, fais que je gagne le tiercé pour pouvoir le rembourser. »

Alors David Benchemoul sort son portefeuille, prend un billet de 100 euros et le donne à son voisin, qui, fou de joie le remercie en lui baisant les mains.

Une fois seul, l’homme d’affaire ferme les yeux et se remet à prier :
« Et maintenant, Seigneur, que j’ai toute ton attention… »

Les finances de Dieu

Simon Benchemoul est au bout du rouleau. Il a le fisc et les huissiers sur le dos, ses fournisseurs le harcèlent, ses clients désertent son magasin… plus rien ne va.

Alors, il décide de tenter son va-tout : il met la kippa et fonce à la synagogue.
– Mon Dieu, j’ai des dettes partout, j’ai les fournisseurs tous les jours qui me prennent la tête au téléphone parce que je ne peux pas les payer, l’urssaf et le fisc sont en train de me tuer… Il faut m’aider mon Dieu. Allez, envoie-moi seulement 20000 euros et je ferai don de la moitié aux pauvres, juré !

Il hésite alors un instant et ajoute :
– Eh, si tu n’as pas confiance en moi, mon Dieu, alors envoie-moi seulement 10000 euros !

Le chapeau du rabbin

Le rabbin annonce à ses fidèles :
– Mes chers amis, Je vais faire circuler mon chapeau parmi vous et chacun y glissera dedans ce qu’il voudra.

Le chapeau circule dans l’indifférence la plus totale et fait le tour de la synagogue sans avoir reçu la moindre obole. Le rabbin s’en saisit puis lève les yeux au ciel :
– Merci, mon Dieu, de m’avoir permis de récupérer mon chapeau !

La blague des rabbins golfeurs

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C’est Robert, un passionné de golf qui demande au responsable du terrain de golf de lui trouver un groupe de 3 personnes pour qu’il puisse faire le quatrième. Le responsable en parle aux habitués, et finalement, il trouve des personnes intéressées.

Lorsque Robert revient faire sa partie, le responsable lui dit :
– Je vous ai trouvé un groupe de 3, mais ce sont des rabbins. Ça ne vous gêne pas ?
– Non pas du tout.

Et les 3 rabbins accompagnés de Robert disputent ensemble leur première partie. Dès le premier drive, Robert se sent un peu dépassé: il tombe à 150 mètres dans le rough, alors que les trois rabbins parviennent tous à 250 mètres sur le fairway…

A la fin de la partie, le score est sans appel :

Robert : 7 au dessus du par
Rabbi Jacob : 3 en dessous du par
Rabbi Ezekiel : 2 en dessous du par
Rabbi Lévy : 1 en dessous du par

Robert est assez étonné des performances des rabbins et il leur demande :
– Waow, vous jouez vraiment très très bien. Vous devez vous entraîner tous les jours !?

Mais rabbi Lévy lui répond :
– Non non. On ne vient qu’une fois par semaine. Nous allons juste prier une fois par semaine dans notre synagogue le jour de Shabbat, et nous demandons à jouer correctement, c’est tout !

Alors Robert rentre à la maison hyper excité et il dit à sa femme :
– Chérie, on va se convertir au judaïsme !

Et madame étant l’épouse dévouée type, ils se convertissent aussitôt, trouvent une synagogue, se mettent à prier tous les Shabbats et mangent casher !

… Une année passe, et Robert n’a toujours pas progressé dans son jeu : il se fait toujours avoir par les trois rabbins qui eux, continuent à jouer excellemment.

Un beau jour, la déception est trop forte, et il s’adresse à eux en ces termes :
– Oh je suis déçu, déçu, déçu… J’ai suivi vos conseils : je me suis converti au judaïsme, j’ai fait mes prières à chaque Shabbat, et j’ai rejoint une synagogue, tout ça pour jouer aussi bien que vous. Ça fait un an maintenant, et je suis toujours aussi mauvais !
– Dans quelle synagogue allez vous prier ? Demande rabbi Levy.
– Beth El.
– Ah je vois. C’est là votre erreur : Beth El, c’est pour le tennis !