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Trois légionnaires dans le harem

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Trois légionnaires, égarés dans les sables africains, ont été capturés par les gardes d’un sultan arabe, au moment où ils venaient de s’introduire dans son harem. On les emmène, enchaînés, au pied du trône, et le sultan leur déclare avec un sourire mauvais :
– Quiconque a tenté de séduire ou d’approcher mes femmes doit souffrir par où il a pêché… Cependant, vous aurez le choix du supplice qui vous privera de vos attributs virils. Vous, le premier, que faisiez-vous dans l’existence ?
– J’étais bûcheron, fait le gars, piteusement.
– Alors, on vous la hachera ! Et vous, le second ?
– J’étais pompier…
– Alors, on va vous la brûler !

À ce moment, le troisième légionnaire se met à sauter de joie et il crie :
– Et moi, j’étais marchand de sucettes, marchand de sucettes !

La femme trop dépensière

Un type se plaint à un ami que sa femme est très dépensière.
– Le matin, elle me dit : « Donne-moi de l’argent ! ». Le soir, elle me dit : « Donne-moi de l’argent ! ». Le lendemain, à peine levée, elle me dit : « Donne-moi de l’argent ! ». Mais mon vieux, crois-moi, c’est un supplice, cette manie de dire : « Donne-moi de l’argent ! »
– Et tu lui en donnes ?
– Non, jamais !

La blague du déchaussage bruyant

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C’est l’histoire d’un voisin du dessus et d’un voisin du dessous. Tous les soirs, le voisin du dessus, arrive, se met dans son fauteuil, enlève sa première chaussure, et la laisse tomber sur le sol… BOUM… Enlève sa deuxième chaussure, et la laisse tomber sur le sol… BOUM !

Un beau jour, le voisin du dessous, excédé, monte voir son voisin du dessus. Il lui explique avec tact que la séance de déchaussage est devenue pour lui un supplice.
– Mais Monsieur, lui répond le voisin du dessus compatissant, il fallait me le dire tout de suite. Ecoutez, c’est simple, à partir de maintenant, vous n’entendrez plus de bruit, c’est promis.

Le même soir, le voisin du dessus arrive, enlève une première chaussure…BOUM… Et merde ! Se dit-il, j’ai oublié le voisin d’en dessous !

Il enlève alors sa deuxième chaussure, la pose délicatement sur le plancher et s’endort.

Vers 3h du matin, il entend sonner à sa porte. Il ouvre : c’est le gars d’en dessous qui lui dit d’une voix implorante :
– Je vous en supplie Monsieur, par pitié, enlevez votre deuxième chaussure !