blague SDF

L’évanouissement du clochard

Sur les Boulevards, un clochard aux cheveux blancs jouait de l’accordéon, par un froid sibérien. Soudain, il a un étourdissement et tombe évanoui.

On s’empresse autour de lui et on le transporte dans une brasserie voisine:
– Ouvrez-lui son col, dit un monsieur.
– Donnez-lui un verre de rhum, conseille une dame.
– Appelez police-secours, fait une troisième personne.
– Donnez-lui un verre de rhum, répète la dame.
– Passez-lui de l’eau sur les tempes, suggère une jeune fille.
– Donnez-lui un verre de rhum, insiste la dame.

A ce moment, le clochard ouvre un oeil et murmure :
– Mais, enfin, Bon Dieu ! Allez-vous vous décider à l’écouter, cette femme ?

Un tailleur taillé

Un SDF est interrogé dans un centre d’accueil et raconte son passé :
– Voilà, j’étais tailleur mais j’ai pris une veste dans une affaire cousue de fil blanc et j’ai dû, de fil en aiguille, me mettre à faire la manche !

Les deux vieux clochards le soir de Noël

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Ce sont deux vieux, devenus clochards, et c’est le soir de Noël.

Ils sont côte à côte assis sur un banc, il fait froid et histoire de se réchauffer la vieille retrouve ses ardeurs passées et demande à son mari :
– Chéri, ça fait des années que tu ne m’as plus touchée, ce soir c’est Noël… fais moi l’amour !

Le vieux répond en ces termes :
– Oh tu me fais chier, je lis mon journal.
– Mais chéri, t’as vu comment tu me parles pour une fois que je te demande quelque chose tu pourrais t’exécuter …
– Mais tu me fais chier, j’te dis que je lis mon journal, et en plus j’ai sommeil !
– T’es vraiment pas sympa, moi j’ai envie, fais-moi l’amour je t’en supplie…
– Non, c’est non, y’a pas de Noël qui tienne, moi je lis mon journal !
– Alors là t’es vraiment vache, il fait froid, en plus on se serait réchauffé !
– Mais bordel puisque je te dis non !!!!

Alors la vieille espérant réveiller les fantasmes et l’ardeur de son mari, lui farfouille dans le pantalon… Et d’un coup sentant quelque chose de chaud qui lui montait dans la main, elle dis à son mari :
– Mais chéri tu bandes !

Et celui-ci de répondre :
– Non, je chie !

Les malheureux SDF

– À chaque fois, dit la femme d’un riche avocat, que je vois, dans la rue, une de ces malheureuses SDF, je me sens prise d’angoisse à l’idée que, moi aussi, un jour, je pourrais me trouver sans argent.
– Alors, que fais-tu ?
– Je prends mon sac où je range mes cartes de crédit…
– Les SDF acceptent les cartes de crédit ?
– Qui te parle des SDF ? Je vais me remettre de cette émotion en faisant une bonne tournée d’achats dans les magasins.