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La drôle d’embauche de l’aveugle dans une scierie

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C’est un aveugle qui cherche à se faire embaucher dans une scierie. Le patron de la scierie lui demande :
– Et vous pensez que vous pouvez travailler ici avec votre handicap ?
– Oui, bien sûr, parce que je peux me servir de mon odorat là où les autres ont besoin de leur vue !

Le patron de la scierie n’y croit pas trop et décide de tester les compétences de l’aveugle. Il fait amener plusieurs échantillons de bois différents, dans le but de les faire reconnaître à l’aveugle. Le premier échantillon est posé sur la table. L’aveugle le renifle et dit :
– Ca, c’est du chêne, et même du jeune chêne ! affirme l’aveugle.

Le patron pose un deuxième échantillon sur la table :
– Ca c’est du hêtre ! affirme l’aveugle.

Le patron pose un troisième échantillon sur la table :
– Ca c’est du merisier ! affirme l’aveugle.

L’aveugle ne s’est pas trompé une seule fois et le patron est très impressionné. Comme il est très joueur, il veut tenter une expérience : Il passe dans le bureau d’à côté et va chercher la secrétaire (qui a déjà 20 ans de service dans la scierie). Il lui demande de se coucher devant l’aveugle sur la table et de baisser sa culotte, ce qu’elle fait.

Le patron lance alors à l’aveugle :
– Si vous reconnaissez cet échantillon, je vous donne le boulot !

L’aveugle renifle, puis renifle encore, enfin il dit :
– Ah ! Vous me tendez un piège ! Ce n’est pas un bois que l’on utilise normalement dans une scierie… Je pense que c’est le bois de la porte des chiottes d’un vieux bateau de pêche à la crevette.

Dans la scierie, Jean se coupe…

Sam et Jean travaillaient ensemble dans leur scierie.

Un jour, Jean se coupa un bras. Sans s’affoler, Sam prit le bras, le mit dans un sac en plastique et descendit dare-dare à l’hôpital le plus proche … L’opération a réussi et peu de temps après, Jean était de retour à la scierie.

Quelques temps plus tard, Jean se coupa une jambe. Sans s’affoler, Sam prit la jambe, la mit dans un sac en plastique et descendit dare-dare à l’hôpital le plus proche … L’opération a réussi et peu de temps après, Jean était de retour à la scierie.

Un peu plus tard, Jean se coupa la tête. Sans s’affoler, Sam la prit, la mit dans un sac en plastique et descendit dare-dare à l’hôpital le plus proche …

Après plusieurs heures dans la salle d’opération, le chirurgien demande à voir la femme de Jean et il lui dit :
– Je suis désolé. J’ai tout tenté, mais je n’ai pas pu le ramener à la vie.

La femme de Jean, éplorée, dit au chirurgien :
– Oui, je comprend. Pour les têtes, c’est quand même plus dur que pour les jambes et les mains…

Le chirurgien lui répond :
– Non, ce n’est pas ça. Il ne fallait pas mettre la tête dans un sac plastique … Votre mari est mort asphyxié !