blague richesse

L’amour déshérité

Les deux jeunes mariés sont en pleine lune de miel. Ils sont allongés sur le lit et le mari, très amoureux, demande :
– Chérie, si j’étais, disons, défiguré, est-ce que tu m’aimerais toujours ?
– Bien sûr mon chéri, je t’aimerai toujours, lui répond sa jeune épouse calmement en lui prenant la main.
– Et si je devenais impuissant, et que je ne pouvais plus te faire l’amour ? continue-t-il avec inquiétude.
– Ne dis donc pas de bêtise, mon amour, tu sais bien que je t’aimerai toujours ! Insiste-t-elle.
– Bien, et si je perdais mon poste de vice-président dans l’usine de papa, et que mon père me déshéritait ? Est-ce que tu m’aimerais toujours alors ?

La jeune femme regarde avec tendresse le visage inquiet de son mari et lui répond :
– Je t’aimerai toujours mon bébé en sucre et tu ne peux pas savoir combien tu me manqueras.

La blague de la sagesse infinie

Pendant un cours d’archéologie à l’université, un éminent professeur présente à ses élèves une très vieille lampe à huile découverte en Asie Mineure. Au moment où il saisit la lampe, un génie en sort et d’une voix grave et assurée il dit : « Professeur, je t’apparais ici et maintenant pour te récompenser de ton comportement désintéressé et exemplaire. Je vais t’accorder un vœu parmi trois propositions. Tu choisiras sans pouvoir revenir en arrière, et ensuite je disparaîtrais à jamais. Les trois souhaits que je te propose sont une richesse infinie, une sagesse infinie, ou une beauté infinie ».

Le génie laisse au professeur quelques secondes pour réfléchir puis il lui demande :
« Voilà, je t’écoute, quel est ton choix ? »

Sûr de lui et sans l’ombre d’une hésitation, le professeur répond :
– Je choisis l’infinie sagesse.
– Eh bien c’est fait ! répond le génie en s’évanouissant dans un nuage de fumée et de lumière.

Maintenant, toutes les têtes des étudiants de l’amphi se tournent vers le professeur. Les élèves sont médusés. Ils attendent que leur prof dont le visage apparaît auréolé d’un halo de lumière leur parle.
– Professeur, dites quelque chose ! lance quelqu’un.

Et le professeur répond :
– J’aurais dû choisir l’argent.

L’appât du gain

– Dis donc, demande un gars à un ami, il paraît que tu as rompu avec la jolie veuve que tu devais épouser ?
– C’est vrai.
– Tu m’avais pourtant dit qu’elle était richement installée.
– Hé, oui ! Elle habite une villa splendide, son mobilier est magnifique et elle a une bagnole sensationnelle…
– Et malgré ça, tu l’as laissée tomber ?
– Oui. Je ne gagne pas assez pour payer les mensualités.

Le futur mari

– Moi, dit une jeune fille, j’épouserai un homme bien bâti, beau, riche et intelligent.
– Bien sûr, ma chérie, approuve sa mère. A ton âge, je disais exactement la même chose. Et puis j’ai fini par épouser tout bêtement ton père.