blague reconnaissance

La reconnaissance du pénis

Ce couple venait de se séparer quelques mois auparavant, mais ils étaient restés bons amis et vivaient d’ailleurs encore dans le même immeuble.

Un beau matin de janvier, l’homme glisse sur une plaque de verglas et se casse le bras. Son ex qui sortait au même moment de l’immeuble l’aide à se relever et le ramène dans son appartement pour lui apporter les premiers soins et appeler le médecin.
– Je peux faire quelque chose d’autre pour toi ? lui demande-t-elle.
– Oui, répond-t-il, tu pourrais m’aider à prendre un bain : j’ai des éraflures et de la boue partout… Et avec mon bras cassé, ça ne va pas être facile !

La fille accepte sans faire de difficultés. Elle l’aide à entrer dans la baignoire et le savonne doucement, lorsqu’elle aperçoit le début d’une érection.
– Oh, comme c’est romantique, minaude-t- elle. Regarde, on dirait qu’elle m’a reconnu…

La poupée de papa

Un papa rentre à la maison avec sa petite fille qu’il vient tout juste de prendre à l’école. La petite fille lui dit :
– Dis papa, je t’ai vu au bureau avec ta secrétaire. Pourquoi est-ce que tu l’appelles « poupée » ?

Sentant l’œil noir de sa femme planer au-dessus de lui, le papa s’explique :
– Heu, tu sais ma chérie, ma secrétaire est quelqu’un qui travaille énormément et qui gère mon emploi du temps mieux que personne. Tu ne peux pas savoir comment elle tape bien le courrier et comment elle maîtrise bien l’ordinateur aussi. C’est quelqu’un de très efficace. C’est pour cela que je l’appelle « poupée » : c’est une façon de lui montrer ma reconnaissance…
– Oh… Je pensais que c’était parce qu’elle ferme les yeux quand tu la couches.

Et merde !

Les perles : la justice

Certains prévenus sont reconnaissants :
– Puis-je ajouter un mot, monsieur le président ?
– Si vous voulez, répond le magistrat.
– C’est un mot de cinq lettres … Merci.
On a frôlé l’outrage.

Le rangement de chambre

J’ai dit à mes enfants que je ne voulais plus les revoir avant qu’ils aient rangé leur chambre… Je me demande si je vais les reconnaître quand ils reviendront tellement ils auront grandi d’ici là…