blague racisme

L’accident du Front National

Au retour d’une réunion du front national, deux sympathisants qui avaient un peu arrosé l’événement, percutent avec leur 4×4 la Clio de trois Maghrébins. Le choc est terrible. Les deux frontistes, quoique secoués, s’en sortent sans une égratignure. Ils s’extirpent de leur engin pour constater les dégâts.

Sous la violence de l’impact, un des Maghrébins a été éjecté. Il gît sur le sol dans une mare de sang. Le pauvre est mourant. Le conducteur du 4×4 sort alors son pistolet et pointe son arme vers le blessé :
– Je dois l’abattre, dit-il, C’est un être humain qui souffre…

Il descend le pauvre homme sans sourciller et ouvre ensuite la portière de la Clio. Le passager de la voiture tombe comme une masse à ses pieds. Lui aussi est agonisant. Pâle comme la mort, il doit souffrir d’une hémorragie interne. Le frontiste lève son arme et à nouveau il dit :
– Cet homme doit souffrir et n’a plus aucune chance de survivre. Je dois l’achever pour son bien…

Il tire alors deux coups dans le corps du pauvre gars. Aussitôt après, il entend alors une voix tremblotante de terreur qui provient de l’arrière de la voiture :
– Pitié, pitié ne tirez pas. Je vais bien, vous voyez je n’ai rien !

Alors l’extrémiste pointe son revolver vers le troisième Maghrébin sur le siège arrière de la voiture et il dit :
– C’est un être humain qui souffre et qui, de plus, est un sacré menteur…

Le motard et l’arabe

Un jour, un Arabe franchit un panneau « Stop », sans s’arrêter. Un motard de la police le poursuit et le fait se ranger sur le côté.
– Carte d’identité et permis de conduire, s.v.p.
– Mais pourquoi chif ?
– Parce que vous ne vous êtes pas arrêté au signal « Stop », carte d’identité et permis de conduire, s.v.p…
– Mais j’i ralenti ! Et puis y avait personne en vue.
– Vous deviez vous ARRETER et vous ne l’avez pas fait, CARTE D’IDENTITE ET PERMIS DE CONDUIRE !
– Bof ! S’arrêti ou ralentir, j’y vois pas la différence…
– Descendez de votre véhicule.

Tandis que l’arabe descend de sa voiture, l’agent sort sa matraque et d’un bon coup sur la tête, il le met à terre. Ensuite il continue à le frapper un petit moment. Puis il demande d’un ton sarcastique :
– Je m’arrête où je ralentis ?
– Ti t’arrête…
– Eh bien voilà, t’a compris la différence !

Y‘a bon racisme, hein ?

Dans un banquet qui réunit des officiels français et africains, un jeune diplomate de l’Hexagone dit, pour meubler la conversation, à son collègue noir :
– Y’a bon miam-miam, hein ?

Pas de réaction. À la fin du repas, ce diplomate noir se lève pour prendre la parole et fait un discours époustouflant dans un français remarquable.

Quand il a terminé, il se rassied et dit au Français :
– Y’a bon bla-bla, hein ?