blague rabbin

Le stérilet en or

Un juif va voir le rabbin :
– Demain c’est l’anniversaire de Sarah et je ne sais pas quoi lui offrir.
– Vous avez pensé à un collier ?
– Mais il y en a partout des colliers dans la maison, elle les perd tellement elle en a.
– Une bague alors ?
– C’est pareil, elle a plus assez de doigts pour les mettre.

Le rabbin vaguement excédé lui sort le premier truc qui lui passe par la tête :
– Et vous avez pensé à un stérilet en or ?
– Ah non, ça j’y avais pas pensé, merci rabbin.

Deux semaines plus tard, le rabbin et le juif se revoient :
– Alors ça lui a plus le stérilet ?
– Ah ça oui….. et en plus c’est la première fois qu’en lui offrant quelque chose, je rentre dans mon argent !

Le nouveau Moïse

C’est la femme du rabbin Metzenbaum qui appelle son neveu, le psychiatre :
– Dis-donc, j’ai un conseil à te demander : ton oncle se prend pour le nouveau Moïse. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Le psy la rassure :
– Ne t’inquiète pas ma tante. Il a certainement la folie des grandeurs, c’est une petite lubie passagère
– Ouf, tu me rassures. Mais dis-moi tout de même, comment je peux l’empêcher de séparer les eaux dans la baignoire à chaque fois qu’il prend son bain ?

Les rabbins réformistes

Trois rabbins réformistes se trouvent pris dans un terrible accident de voiture sur l’autoroute. Aucun des trois ne survit. Les voilà donc qui montent au ciel tous ensemble et qui se présentent devant l’Eternel qui les dévisage un par un, puis qui leur demande :
– Réformiste, je veux bien. Mais où est-ce que ça va s’arrêter ? Toi ! Goldblum par exemple, des cendriers dans ta synagogue pour que Mon peuple puisse fumer pendant qu’on lit la Torah ? Bon, allez, je peux faire avec. Les hommes sont faibles, mais le verbe est fort !

Goldblum soupire de soulagement voyant que le courroux de Dieu à son égard s’est apaisé.

– Bauman ! Tu exagères. Je peux accepter que Mon Peuple puisse avoir faim, mais vraiment, servir des sandwichs au jambon aux fidèles du temple pendant Yom Kippour, à quoi ça rime ?

Bauman baisse la tête tant il est honteux.
– Mais même ça, tu vois, je peux passer, même si ce n’est pas casher et même si ça ne me fait pas très plaisir. Un Dieu doit savoir prendre sur lui pour ces entorses aux préceptes qu’il a édicté.

Enfin, Dieu se tourne vers le troisième rabbin et il lui dit :
– Toi par contre, tu es allé trop loin ! J’en demandais trop peut-être ? Tout ce que MONSIEUR le rabbin MENDELBAUM trouve à faire en ces jours bénis de Rosh ha-Shana et de Yom Kippour, c’est de mettre une pancarte sur la porte de la synagogue qui dit « FERMÉ POUR CAUSE DE VACANCES » !

Le chapeau du rabbin

Le rabbin annonce à ses fidèles :
– Mes chers amis, Je vais faire circuler mon chapeau parmi vous et chacun y glissera dedans ce qu’il voudra.

Le chapeau circule dans l’indifférence la plus totale et fait le tour de la synagogue sans avoir reçu la moindre obole. Le rabbin s’en saisit puis lève les yeux au ciel :
– Merci, mon Dieu, de m’avoir permis de récupérer mon chapeau !

La blague des rabbins golfeurs

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C’est Robert, un passionné de golf qui demande au responsable du terrain de golf de lui trouver un groupe de 3 personnes pour qu’il puisse faire le quatrième. Le responsable en parle aux habitués, et finalement, il trouve des personnes intéressées.

Lorsque Robert revient faire sa partie, le responsable lui dit :
– Je vous ai trouvé un groupe de 3, mais ce sont des rabbins. Ça ne vous gêne pas ?
– Non pas du tout.

Et les 3 rabbins accompagnés de Robert disputent ensemble leur première partie. Dès le premier drive, Robert se sent un peu dépassé: il tombe à 150 mètres dans le rough, alors que les trois rabbins parviennent tous à 250 mètres sur le fairway…

A la fin de la partie, le score est sans appel :

Robert : 7 au dessus du par
Rabbi Jacob : 3 en dessous du par
Rabbi Ezekiel : 2 en dessous du par
Rabbi Lévy : 1 en dessous du par

Robert est assez étonné des performances des rabbins et il leur demande :
– Waow, vous jouez vraiment très très bien. Vous devez vous entraîner tous les jours !?

Mais rabbi Lévy lui répond :
– Non non. On ne vient qu’une fois par semaine. Nous allons juste prier une fois par semaine dans notre synagogue le jour de Shabbat, et nous demandons à jouer correctement, c’est tout !

Alors Robert rentre à la maison hyper excité et il dit à sa femme :
– Chérie, on va se convertir au judaïsme !

Et madame étant l’épouse dévouée type, ils se convertissent aussitôt, trouvent une synagogue, se mettent à prier tous les Shabbats et mangent casher !

… Une année passe, et Robert n’a toujours pas progressé dans son jeu : il se fait toujours avoir par les trois rabbins qui eux, continuent à jouer excellemment.

Un beau jour, la déception est trop forte, et il s’adresse à eux en ces termes :
– Oh je suis déçu, déçu, déçu… J’ai suivi vos conseils : je me suis converti au judaïsme, j’ai fait mes prières à chaque Shabbat, et j’ai rejoint une synagogue, tout ça pour jouer aussi bien que vous. Ça fait un an maintenant, et je suis toujours aussi mauvais !
– Dans quelle synagogue allez vous prier ? Demande rabbi Levy.
– Beth El.
– Ah je vois. C’est là votre erreur : Beth El, c’est pour le tennis !