blague prostituées
Les femmes qui geignent

C’est Moché et Sarah qui passent en voiture rue St Denis, et Sarah regarde les femmes dévêtues attendant patiemment le prochain client.
– Moché, je comprends vraiment pas pourquoi les hommes vont voir les prostituées… Qu’est ce qu’elles ont de plus que nous ?
– Tu sais Sarah, c’est des professionnelles… elles font des choses qu’elles seules savent faire.
– Mais quels types de choses ?
– Des choses…
– Quoi ? Moché, réponds-moi !
– Ben, je sais pas… par exemple elles geignent.
– Ah ça ! Mais moi aussi je peux geindre !
– On verra ça ce soir alors, répond Moché.
Le soir arrive, Sarah s’est mis des sous-vêtements affriolants. Elle va se coucher.. Puis Moché, commence son affaire…
– C’est maintenant que je geins ?
– Non pas encore Sarah…
…
– C’est maintenant ?
– Non pas encore…
…
– C’est bon, tu peux geindre maintenant…
– Ahhh, j’ai pas payé le loyer et il y a plein de factures au courrier et mon fils qui veut se marier aïe aïe aïe…
La blague de la vieille pute

Un belge décide d’aller passer le week-end à Amsterdam, sur les conseils d’un ami qui lui a appris que les prostituées hollandaises proposaient un forfait comprenant la nuit, la chambre d’hôtel et le bock de bière. Il fait toutes les vitrines de la ville mais les prix proposés sont trop élevés pour lui. Penaud, il s’apprête à reprendre le train, lorsqu’il avise un gravât immonde et flétri, entouré d’un essaim de mouches.
Le belge :
– C’est combien ?
Le gravât :
– C’est vingt florins avec la chambre d’hôtel et la bière.
Le belge :
– D’accord, je te suis.
Lorsqu’ils sont dans l’escalier, la prostituée se retourne vers lui et lui dit, un peu gênée :
– Ecoute, je préfère être honnête avec toi : je n’ai pas de clitoris.
Le belge:
– Bah, c’est pas grave. Je prendrai une Heineken.
La bigote, le curé et les perroquets
C’est une bigote qui s’en va voir son curé :
« Mon père, j’ai un problème. Je viens d’acheter deux perroquets femelles, mais ils ne savent dire qu’une seule chose… »
« Et que disent-ils ? » demande le prêtre.
« La seule chose qu’elles savent dire c’est : Salut, nous sommes des prostituées. Ça te dirait de prendre ton pied ? » « C’est terrible ! » s’exclame le prêtre. « Mais j’ai la solution à votre problème. Vous savez que j’ai moi aussi deux perroquets, mais les miens sont des mâles. Amenez-moi vos deux perroquettes, je les mettrais avec les miens. Comme je leur ai appris à prier et à lire la bible, mes perroquets apprendront à vos perroquettes les bonnes manières. Et ainsi vos perroquettes ne diront plus ces phrases dégoûtantes, mais prieront avec dévotion. »
« Merci M. le curé » dit la dame, toute rassurée.
Alors le lendemain, la dame amène ses perroquettes chez le prêtre. Les perroquets du prêtre sont dans leur cage, en train de prier avec leur rosaire entre les pattes et le perchoir.
La dame fait alors rentrer ses perroquettes dans la cage des deux mâles. Naturellement, les deux perroquettes lancent :
« Salut, nous sommes des prostituées. Ça vous dirait de prendre votre pied ? »
Et un des deux perroquets mâle regarde alors son copain et lui dit :
« Hé, tu peux balancer ta bible maintenant ! Nos prières ont été exaucées ! »