blague prostituée

Le ministère de la fille publique

Les perles : la justice

Me Campinchi traite une matrone de prostituée. Celle-ci s’en indigne publiquement. Alors, l’avocat, aux coups de griffe souvent rudes, lui lance : « Madame, quand on a été ministre ou fille publique, ne serait-ce qu’un jour, on a droit au titre toute sa vie… »

Le pas cher qui peut vous ruiner !

Après une nuit torride avec une « professionnelle », le maire du village sort de sa poche un billet de cinquante euros qu’il pose sur la table. La demoiselle s’écrie :
– Mais c’est beaucoup trop, je ne prends que vingt !
– Vingt euros pour une nuit ? Mais comment arrives-tu à en vivre ?
– Ne vous inquiétez pas pour moi. Je fais aussi du chantage à mes heures perdues !

La blague de la soupe aux vermicelles

C’est un gars qui rentre dans un restaurant du côté de la place Pigalle. Il commande une soupe aux vermicelles qui lui est servie rapidement. Le gars commence à manger sa soupe et toute de suite, il s’arrête et manque de s’étrangler, un long cheveu s’étant collé au fond de sa gorge.

Après moults raclements de gorges et verres d’eau, il appelle la serveuse :
– Il n’est pas question que je paie cette soupe : il y avait un long cheveu dedans et ce n’est pas normal !

La serveuse essaie de calmer le client en lui proposant un autre plat, mais le client irascible renverse son bol de soupe et part en claquant la porte, sans payer. En le regardant s’éloigner par la fenêtre, l’employée voit le type entrer dans une maison de passe, juste en face.

Décidée à ne pas en rester là avec ce malpoli, la serveuse entre dans la maison close, demande dans quelle pièce est son gars à la soupe, et en un éclair, elle est dans la chambre.

À peine la porte est-elle ouverte qu’elle voit son client en pleine action : il est en train de bouffer la chatte de la prostituée !

La serveuse voyant cela ricane :
– Alors espèce d’escroc, tu ne veux pas payer ta soupe aux vermicelles parce que tu as trouvé un petit poil dedans, et regarde ce que tu es en train de bouffer en ce moment !

Et là le gars lève la tête et répond :
– Ouais, mais si je trouve un vermicelle ici, je paie pas !

Quand la viande est trop chère

Rue Saint-Denis, un SDF qui cherchait à tirer son coup depuis pas mal de temps avait rassemblé toutes ses économies pour l’occasion.

Il accoste la première fille et lui demande :
– Bonjour Chérie ! Pour tirer mon coup avec toi, ça me coûtera combien ?
– Bah, pour toi chéri, parce que tu t’es lavé et que tu ne sens pas la vinasse, je veux bien descendre à 80 euros.
– Ouh là, c’est encore trop cher ma belle ! dit le clodo avant de poursuivre son chemin.

Un peu plus loin, il accoste une autre fille et lui demande son prix pour la bagatelle.
– Parce que t’as une bonne bouille mon biquet, je veux bien descendre à 80 euros, mais pas plus bas.
– Vous êtes dures en affaire les filles et bien trop chères pour moi. Donne-moi plutôt un tuyau alors : est-ce que tu ne connaîtrais pas une fille qui aurait des prix plus abordables… J’ai pas baisé depuis cinq ans, allez, y a bien une fille qui pratique des tarifs plus bas pour les mecs comme moi ?

La fille prise d’une soudaine compassion lui indique le coin de la rue :
– Va voir là-bas et demande la grosse Monique.

Le clochard la remercie et file aborder la grosse Monique.
– Bonjour ma belle, lui dit le sans abri, j’ai pas tiré mon coup depuis cinq ans… Combien tu me prends pour te labourer le beefsteak ?

La Monique lui répond :
– Ah mon pauvre gars, tu me fais pitié. Pour toi, je veux bien te faire le truc à 40 euros !
– 40 euros ? gémit le gars, aïe aïe aïe, c’est pas ma veine j’ai tout juste 10 euros. Bon, écoute c’est bon, j’ai trouvé une solution. On va monter, je te donne mes dix euros et je ne te touche même pas.

La fille est d’accord. Arrivés dans la chambre, le clodo lui dit :
– Tiens, voilà tes 10 euros. Tout ce que tu as à faire maintenant, c’est de faire pipi dans cette cuvette émaillée et ensuite tu me laisse seul cinq minutes !

La grosse Monique s’exécute, et quitte la chambre, mais intriguée par la demande incongrue, elle regarde par le trou de la serrure et là elle voit… Le clodo tenant son braquemart turgescent d’une main ferme et le trempant dans la cuvette remplie d’urine en disant :
– Alors t’as vu comme moi le prix de la viande… Eh ben comme ça t’auras au moins droit au bouillon !

Macron à la rue

dessin d'actualité humoristique sur Emmanuel Macron trouvant un travail en traversant la rue
16 septembre 2018 – Macron à la rue

Emmanuel Macron : « Je traverse la rue et je vous trouve un travail. »
(Caricature Emmanuel Macron – Dessin du 16 septembre 2018)

Dernière macronerie de Son Altesse Présidentielle (« qu’on parle de vous en bien ou en mal, ce qui compte, c’est qu’on en parle ») à un jeune chômeur : « je traverse la rue et je vous trouve un boulot. »

Sous-entendu, il suffit de se bouger pour trouver du travail et les gens qui restent au chômage le veulent bien. Dans ce pays, il y a trois millions de fainéants qui n’ont pas envie d’occuper des emplois sous prétextes qu’ils sont pénibles, mal payés, sous-qualifiés et/ou à l’autre bout du pays. On connaît la chanson et ceux qui l’aiment ont rarement été au chômage pour de vrai.

Zaïtchick