Un scénariste propose un scénario à un producteur :
– Voilà, mon scénario fait 500 pages.
– C’est bien trop long !
Huit jours plus tard, le scénariste se présente à nouveau.
– Mon scénario a bien diminué, il ne fait plus que 100 pages.
– C’est encore trop long.
Une semaine après, une nouvelle rencontre a lieu.
– Voilà, mon scénario ne fait plus que deux pages.
– C’est un peu long. Résumez-moi l’histoire en deux mots.
– Pan ! Pan !
– Ah ! Enfin. Voilà un bon scénario.
Un producteur de cinéma interroge une jeune comédienne.
– Avez-vous déjà tourné ?
– Oui, dans un film-catastrophe.
– Ah ! Et de quoi s’agissait-il : d’un Boeing 747 en perdition avec six cents personnes à bord ? D’un train fou, roulant sans conducteur ou encore d’un bateau éperonné par un mystérieux sous-marin ?
– Non. C’était juste l’histoire d’un couple de jeunes mariés bien tranquilles.
– Et où est la catastrophe, là-dedans ?
– Après tout ce que j’avais dû faire comme galipettes, pour décrocher ce rôle, c’était fatal : à la fin du tournage, je me suis retrouvée enceinte de jumeaux.
Sur la croisette à Cannes, deux jeunes starlettes bavardent entre elles :
– Ce soir, mon chou, je ne peux pas sortir avec toi ! Figure toi qu’un richissime producteur m’a proposé de m’emmener faire un tour en mer sur son magnifique yacht, et dans un mois, une croisière chez lui en Corse.
Le lendemain, elles se rencontrent :
– Alors, demande l’amie, alors raconte !
– Ah ! soupire l’autre, ne m’en parle pas ! Non seulement il m’a trompée sur la dimension du bateau, mais en plus il m’a fait ramer !
