blague procès

L’interview de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

« Je n’ai pas demandé à être filmé par ce foutu cameraman, il m’a entendu dire aux policiers que j’étais le loueur de l’appartement, il a allumé sa caméra si j’avais su ce qu’aurait causé cet interview je n’aurais jamais parlé. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, dans sa lettre à Jean-Marc Herbaut, juge à la section antiterroriste de Paris)

La menace de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

« Vous cherchez quoi au juste qu’a force de craquer je comette l’irréparable je suis quelqu’un de violent depuis tout jeune (…) si je commet un acte violent on va dire c’est un terroriste Jawad mais mort de rire. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, dans sa lettre à Jean-Marc Herbaut, juge à la section antiterroriste de Paris)

L’oasis de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

« J’ai senti un truc louche mais jamais j’aurais pu imaginer une seule seconde que je venais de serrer la main et offert un toit du coca cherry, de l’oasis aux individus qui venait de commettre les pires attentats perpetré en France »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, dans sa lettre à Jean-Marc Herbaut, juge à la section antiterroriste de Paris)

La durite de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

« Vous êtes juge d’instruction, on aurait dis vous êtes scénariste (…) vous attendez quoi je pète une durite ? »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, dans sa lettre à Jean-Marc Herbaut, juge à la section antiterroriste de Paris)

La délicatesse de Mohamed Soumah

Les perles : La justice

S’adressant à l’avocat :
« Dans un premier temps, j’aurais mis une grosse baffe dans sa gueule à Hasna. Je lui aurais donné des coups de pieds dans la tête, comme un ballon de foot, et je l’aurais virée de ma cité. Je lui aurais niqué sa gueule à Hasna. »
Puis au frère d’ Hasna Aït Boulahcen :
« Avec tout le respect, hein. »

(Mohamed Soumah, lors de son procès en janvier 2018)