blague portefeuille

La blague des testicules du nain

Un homme qui se soulage devant un urinoir remarque qu’un nain est en train de l’observer. Mais le besoin est pressant et il n’a pas envie de s’interrompre pour si peu de chose. Encouragé par l’absence de réaction, le nain approche un petit escabeau, grimpe dessus et observe pour ainsi dire à bout portant les parties intimes du monsieur.
– Ma parole ! s’exclame-t-il. C’est la première fois que je vois d’aussi belles balloches !

Surpris mais quelque peu flatté, l’homme bredouille des remerciements confus et s’apprête à refermer sa braguette.
– Un instant, s’il vous plaît, dit le nain. Ma demande va sans doute vous paraître bizarre mais me permettriez-vous de les tâter ? Elles sont tellement remarquables…

De plus en plus surpris mais aussi de plus en plus flatté, l’homme se dit qu’au fond, il n’y a pas grand mal et il accepte. Le nain tend les bras, s’empare de ses testicules et lance d’un ton menaçant :
– Ok mon pote. Maintenant, aboule ton portefeuille ou je saute de l’escabeau.

Le vol instinctif

Un policier interroge un voleur :
– Pourquoi ne pas avoir rendu son portefeuille à cette dame ?
– Par instinct, monsieur l’inspecteur.
– L’instinct ? Quel instinct ?
– L’instinct de conservation.

Placement salvateur

Un homme, boursicoteur invétéré, mais plutôt malchanceux, rentre tout ému chez lui :
– Ah ma chérie, si tu savais ce qu’il vient de m’arriver ! Je passais devant la banque, au moment d’un hold-up, ça canardait dans tous les sens, et tiens, regarde, j’ai même pris une balle perdue ! Regarde mon veston.

Effectivement, il y a un petit trou rond sur le côté gauche. Sa femme s’exclame :
– Mais alors, tu es blessé ?
– Pas du tout, par un vrai miracle, la balle a été arrêtée par mon portefeuille. Hein, qu’est-ce que tu en dis ?
– Eh bien, j’en dis que pour une fois, c’était de l’argent bien placé !

La photo du permis

Dernièrement, j’ai fait renouveler mon permis de conduire, trop contente de changer l’horrible photo qui était dessus. Mais en voyant le nouveau, quelle n’a pas été ma déception ! Je me trouvais encore plus laide que sur le précédent.
– Est-ce que tu arrives à croire que tu es marié à une créature pareille ? demandai-je à mon mari.
– Moi, non. Mais le type qui est dans mon portefeuille, certainement !

La mort de l’Écossais

Un Écossais est allongé sur le bord de la route. Très vite les passants appellent un médecin. Celui-ci s’agenouille près de son patient, lui met la main sous son veston, et dit :
– Il est mort.

Les passants lui demandent :
– Mais comment le savez-vous ?
– Facile, j’ai mis la main dans son portefeuille et il n’a pas bougé.