blague portefeuille

Placement salvateur

Un homme, boursicoteur invétéré, mais plutôt malchanceux, rentre tout ému chez lui :
– Ah ma chérie, si tu savais ce qu’il vient de m’arriver ! Je passais devant la banque, au moment d’un hold-up, ça canardait dans tous les sens, et tiens, regarde, j’ai même pris une balle perdue ! Regarde mon veston.

Effectivement, il y a un petit trou rond sur le côté gauche. Sa femme s’exclame :
– Mais alors, tu es blessé ?
– Pas du tout, par un vrai miracle, la balle a été arrêtée par mon portefeuille. Hein, qu’est-ce que tu en dis ?
– Eh bien, j’en dis que pour une fois, c’était de l’argent bien placé !

La photo du permis

Dernièrement, j’ai fait renouveler mon permis de conduire, trop contente de changer l’horrible photo qui était dessus. Mais en voyant le nouveau, quelle n’a pas été ma déception ! Je me trouvais encore plus laide que sur le précédent.
– Est-ce que tu arrives à croire que tu es marié à une créature pareille ? demandai-je à mon mari.
– Moi, non. Mais le type qui est dans mon portefeuille, certainement !

La mort de l’Écossais

Un Écossais est allongé sur le bord de la route. Très vite les passants appellent un médecin. Celui-ci s’agenouille près de son patient, lui met la main sous son veston, et dit :
– Il est mort.

Les passants lui demandent :
– Mais comment le savez-vous ?
– Facile, j’ai mis la main dans son portefeuille et il n’a pas bougé.

La surprise des surprises

– Je regrette, monsieur, dit le garçon, mais aujourd’hui il n’y a pas la « surprise du chef » sur la carte des desserts.
– Pourquoi cela ?
– Ce matin, le chef était parti de chez lui comme d’habitude. Au moment de monter dans le bus, il s’aperçoit qu’il a oublié son portefeuille. Il retourne à son domicile et là, il trouve sa femme en train d’embrasser le livreur. Vous comprenez qu’il avait son compte de surprise pour la journée.

Le crédit champignon

– Je voudrais un kilo de champignons, dit une dame au marchand de légumes installé sur le marché, mais je n’ai pas mon portefeuille sur moi.
– Je regrette, dit-il, mais avec ce genre d’article, je ne peux pas prendre le risque de faire crédit.