blague pornographie

Le bon âge pour les magazines pornographiques

Le commissaire de police, venu acheter un quotidien à la librairie-tabac-journaux de son quartier, fronce les sourcils en voyant un gamin d’une huitaine d’années emporter un magazine danois particulièrement gratiné.
– Vous n’avez pas honte, dit le policier à la commerçante, de vendre à cet enfant des revues pornographiques ?
– Mais, proteste-t-elle, c’est pour son bien.
– Comment cela ?
– Vous pensez bien que les galipettes de ce genre-là, à son âge, ça ne l’intéresse pas. Par contre, elles lui évitent, chaque semaine, une bonne correction, depuis qu’il a trouvé l’astuce de glisser un de ces magazines dans son bulletin de notes, au moment de le faire signer par son père.

Le triomphe sexuel de Casanova

Dans un club très spécial est organisé un spectacle non moins spécial : le triomphe de Casanova. Un athlète particulièrement athlétique se propose d’honorer en une heure 13 jeunes expertes es-libertinage, sans trucage ni play-back.

Il y a foule. Le spectacle commence.

Le vigoureux vit du viril et vicieux vidangeur suscite à toute l’assistance une envie démesurée, et chez les jeunes assistantes des cris orgasmiques aussi stridents qu’humides.

Après une demi-heure, on baisse le chauffage, l’athlète pointe correctement aux temps intermédiaires et le premier rang est inondé. Au bout de 45 minutes, 10 jeunes filles gisent pantelantes, des sourires aux lèvres, petites, moyennes et grandes.

Plus que trois !

C’est alors qu’arrive le drame, le coup de barre, la fringale, le trou, Dans un sursaut d’énergie, la veuve poignée rétablit la situation dans une enfilade bâclée.

Plus que deux !

Des mains expertes ayant pratiqué le Kama Soutra depuis leur plus tendre enfance, aidées d’une volonté de fer et d’un brin de simulation, viennent à bout de l’avant-dernière candidate.

Il reste 4 minutes mais plus aucun espoir.

Entre les jambes de l’athlète pend une limace ridiculement dégoulinante qui n’intéresserait même pas une bonne soeur aux fesses molles. C’est la fin, c’est le bide, c’est le fiasco.

Le directeur du club n’en croit pas ses yeux, son avenir est foutu, c’est la ruine. Canines en avant, il se rue sur le malheureux artiste prostré qui marmonne :
« J’comprends pas, j’comprends pas, j’avais pourtant répété trois fois cet après-midi… »